Après tout, le succès mitigé de la TSX au Canada ne lui enlève pas ses qualités. Qu'il suffise de mentionner son 4-cylindres multisoupape i-VTEC nerveux de 2,4 litres. Cette variante du moteur de la Honda Accord a été conçue pour produire beaucoup de couple à bas et à moyen régimes. Il aime les hauts régimes et dispose d'une superbe boîte de vitesses manuelle à 6 rapports courts (une automatique SportShift à 5 rapports figure parmi les options). Cette boîte manuelle offre un maniement précis, et son embrayage, dont la course est longue, offre peu de résistance. En outre, la TSX dispose d'un accélérateur électronique destiné à optimiser les performances en fonction des habitudes du conducteur.
Moteur performant
Ce moteur de 205 chevaux permet d'accélérer de 0 à 100 km/h en moins de 8 secondes (avec la boîte manuelle). De plus, il a consommé en moyenne 10,3 litres aux 100 kilomètres de carburant Super sur un parcours mixte de près de 750 kilomètres; une consommation comparable à celle de ses rivales.
La conduite de la TSX se révèle agréable. Sa suspension masque bien les défauts du revêtement et optimise le confort. Elle pèche même par un léger roulis en courbe. La servodirection est précise, et son assistance variable, bien dosée. Cependant, un diamètre de braquage important (12,2 mètres) rend les manoeuvres de stationnement compliquées, là où l'espace est compté.
Le freinage est assuré par de grands disques aux quatre roues, et son action est progressive. Le roulement doux et exempt de vibrations parasites traduit la rigidité du châssis. En revanche, pour rendre ce châssis aussi rigide, les ingénieurs de la marque ont dû, entre autres, relever considérablement sa structure périmétrique arrière. On se retrouve donc avec un seuil de coffre très élevé qui ne facilite nullement le chargement des bagages.
Autre anachronisme lié au coffre, c'est là qu'on trouve deux minuscules sangles bouclées très loin à l'intérieur. Elles servent à déverrouiller les dossiers rabattables asymétriques (60/40) de la banquette arrière. Or, leur utilité est indéniable, mais l'emplacement qu'on leur a donné en rend l'accès difficile. Cela ressemble à une installation de dernière minute.
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| Le 2,4 litres de la TSX est une variante du moteur de la Honda Accord et a été conçue pour produire beaucoup de couple à bas et à moyen régimes. |
Moteur performant
Ce moteur de 205 chevaux permet d'accélérer de 0 à 100 km/h en moins de 8 secondes (avec la boîte manuelle). De plus, il a consommé en moyenne 10,3 litres aux 100 kilomètres de carburant Super sur un parcours mixte de près de 750 kilomètres; une consommation comparable à celle de ses rivales.
La conduite de la TSX se révèle agréable. Sa suspension masque bien les défauts du revêtement et optimise le confort. Elle pèche même par un léger roulis en courbe. La servodirection est précise, et son assistance variable, bien dosée. Cependant, un diamètre de braquage important (12,2 mètres) rend les manoeuvres de stationnement compliquées, là où l'espace est compté.
Le freinage est assuré par de grands disques aux quatre roues, et son action est progressive. Le roulement doux et exempt de vibrations parasites traduit la rigidité du châssis. En revanche, pour rendre ce châssis aussi rigide, les ingénieurs de la marque ont dû, entre autres, relever considérablement sa structure périmétrique arrière. On se retrouve donc avec un seuil de coffre très élevé qui ne facilite nullement le chargement des bagages.
Autre anachronisme lié au coffre, c'est là qu'on trouve deux minuscules sangles bouclées très loin à l'intérieur. Elles servent à déverrouiller les dossiers rabattables asymétriques (60/40) de la banquette arrière. Or, leur utilité est indéniable, mais l'emplacement qu'on leur a donné en rend l'accès difficile. Cela ressemble à une installation de dernière minute.
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| Autre anachronisme lié au coffre, c'est là qu'on trouve deux minuscules sangles bouclées très loin à l'intérieur. |