D'autre part, la qualité d'assemblage n'est surpassée par aucun compétiteur. La finition est impeccable et des matériaux de premier ordre sont employés à la grandeur de la cabine.
Des reproches? Ils sont très peu nombreux. Si les deux porte-gobelets avant sont occupés, il faut dire adieu à l'accoudoir central. En outre, le changeur de six CD, placé complètement à droite dans le petit coffre à gants, est difficilement accessible par le conducteur.
Principe mécanique éprouvé, nouvelle approche
Le V6 suralimenté à courroie d'Audi se veut une variante plus puissante et plus évoluée d'un principe mécanique populaire et éprouvé.
Un petit moteur efficace qui bénéficie d'une admission forcée a plutôt tendance à consommer peu de carburant à vitesse de croisière et à livrer un couple explosif quand on enfonce l'accélérateur. Un moteur turbocompressé à quatre cylindres, par exemple, affiche généralement une consommation plus faible sur l'autoroute qu'un V6 conventionnel -- même lorsque les deux ont une puissance égale.
Bref, un turbocompresseur ou compresseur volumétrique ne travaille qu'au besoin, ce qui veut dire que les conducteurs obtiennent une performance accrue sans devoir écoper de la soif de carburant d'un plus gros engin.
Ce nouveau moteur Audi emploie simultanément un compresseur intégré et un système d'injection directe afin d'accroître le rendement et diminuer la consommation. En conduite modérée, le V6 de 3,0 litres a toutes les caractéristiques d'un moteur frugal et raffiné. En pleine accélération, toutefois, il fait manger du bitume à la voiture comme un V8 à tout casser.
Beauté à courroie
Avec cette A6, le couple à bas régime dont on se sert au décollage est particulièrement impressionnant. Il nous colle au fond de notre siège dès les premiers tours de roues... même si le compresseur travaille à peine. Pour ce qui est de la cavalerie, elle compte pas moins de 300 chevaux.
Si ma mémoire ne me fait pas défaut, je dirais que le V6 suralimenté propulse la A6 avec plus de vigueur que le V8 de 4,2 litres aussi disponible, et ce, malgré les 350 chevaux de ce dernier.
La boîte Tiptronic à six rapports avec palettes au volant opère rapidement en mode automatique, rétrogradant au besoin pour faire grimper le régime en flèche, même tout près de la zone rouge de 7000 tours/minute. En fait, l'instantanéité de la transmission est un merveilleux complément à la poussée sans décalage et presque sans relâche du moteur.
Des reproches? Ils sont très peu nombreux. Si les deux porte-gobelets avant sont occupés, il faut dire adieu à l'accoudoir central. En outre, le changeur de six CD, placé complètement à droite dans le petit coffre à gants, est difficilement accessible par le conducteur.
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| Ce nouveau moteur Audi emploie simultanément un compresseur intégré et un système d'injection directe. |
Principe mécanique éprouvé, nouvelle approche
Le V6 suralimenté à courroie d'Audi se veut une variante plus puissante et plus évoluée d'un principe mécanique populaire et éprouvé.
Un petit moteur efficace qui bénéficie d'une admission forcée a plutôt tendance à consommer peu de carburant à vitesse de croisière et à livrer un couple explosif quand on enfonce l'accélérateur. Un moteur turbocompressé à quatre cylindres, par exemple, affiche généralement une consommation plus faible sur l'autoroute qu'un V6 conventionnel -- même lorsque les deux ont une puissance égale.
Bref, un turbocompresseur ou compresseur volumétrique ne travaille qu'au besoin, ce qui veut dire que les conducteurs obtiennent une performance accrue sans devoir écoper de la soif de carburant d'un plus gros engin.
Ce nouveau moteur Audi emploie simultanément un compresseur intégré et un système d'injection directe afin d'accroître le rendement et diminuer la consommation. En conduite modérée, le V6 de 3,0 litres a toutes les caractéristiques d'un moteur frugal et raffiné. En pleine accélération, toutefois, il fait manger du bitume à la voiture comme un V8 à tout casser.
Beauté à courroie
Avec cette A6, le couple à bas régime dont on se sert au décollage est particulièrement impressionnant. Il nous colle au fond de notre siège dès les premiers tours de roues... même si le compresseur travaille à peine. Pour ce qui est de la cavalerie, elle compte pas moins de 300 chevaux.
Si ma mémoire ne me fait pas défaut, je dirais que le V6 suralimenté propulse la A6 avec plus de vigueur que le V8 de 4,2 litres aussi disponible, et ce, malgré les 350 chevaux de ce dernier.
La boîte Tiptronic à six rapports avec palettes au volant opère rapidement en mode automatique, rétrogradant au besoin pour faire grimper le régime en flèche, même tout près de la zone rouge de 7000 tours/minute. En fait, l'instantanéité de la transmission est un merveilleux complément à la poussée sans décalage et presque sans relâche du moteur.
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| Avec cette A6, le couple à bas régime dont on se sert au décollage est particulièrement impressionnant. |







