On ne peut apprécier la tenue de route du 135i cabrio à sa juste valeursans l'avoir éprouvée soi-même. Même si cette voiture avalelittéralement les courbes, elle laisse toujours au conducteur unsentiment de sécurité et de prévisibilité. Il nous faudrait une véritable piste de coursepour arriver à racler les fonds de sa ténacité. Je me contente de direque le 135i cabrio réagit à toute suggestion directionnelle avec lavitesse de Lucky Luke et la minutie d'un militaire.
On serait excusable de penser que de telles prouesses routières sont nécessairement accompagnées de souffrance humaine. En fait, le 135i cabrio offre une conduite beaucoup plus indulgente que ses performances démentielles ne laisseraient croire : j'ai été très surpris par le degré de confort offert. À l'opposé de certains surdoués, le roulement de cette voiture n'épuise pas à force de marteler son refrain de bosses.
Le 135i cabrio : le pur plaisir d'une journée ensoleillée
La redoutable petite décapotable de BMW nous prouve que le nirvana existe bel et bien, aussi insaisissable et cher puisse-t-il paraître. Armé de maintes options, le PSDF du 135i marche sur les talons du plus gros 335i. Si mon portefeuille était de taille, j'aurais bien de la difficulté à choisir entre les deux.
Toutefois, si mon directeur de banque devait se laisser emporter par un excès de générosité, j'opterais pour le 335i, qui me semble plus beau et mieux proportionné. De plus, il donnerait moins de raisons aux passagers arrière de se plaindre (même si c'est là la principale raison de leur présence). Mais c'est vrai qu'avec l'aggravation continuelle de la congestion urbaine, l'empreinte inférieure du 135i et sa dose supplémentaire d'agilité s'avéreraient très pratiques en ville.
photo:Rob Rothwell
On serait excusable de penser que de telles prouesses routières sont nécessairement accompagnées de souffrance humaine. En fait, le 135i cabrio offre une conduite beaucoup plus indulgente que ses performances démentielles ne laisseraient croire : j'ai été très surpris par le degré de confort offert. À l'opposé de certains surdoués, le roulement de cette voiture n'épuise pas à force de marteler son refrain de bosses.
Le 135i cabrio offre une conduite beaucoup plus indulgente que ses performances démentielles ne laisseraient croire. |
Le 135i cabrio : le pur plaisir d'une journée ensoleillée
La redoutable petite décapotable de BMW nous prouve que le nirvana existe bel et bien, aussi insaisissable et cher puisse-t-il paraître. Armé de maintes options, le PSDF du 135i marche sur les talons du plus gros 335i. Si mon portefeuille était de taille, j'aurais bien de la difficulté à choisir entre les deux.
Toutefois, si mon directeur de banque devait se laisser emporter par un excès de générosité, j'opterais pour le 335i, qui me semble plus beau et mieux proportionné. De plus, il donnerait moins de raisons aux passagers arrière de se plaindre (même si c'est là la principale raison de leur présence). Mais c'est vrai qu'avec l'aggravation continuelle de la congestion urbaine, l'empreinte inférieure du 135i et sa dose supplémentaire d'agilité s'avéreraient très pratiques en ville.
photo:Rob Rothwell