La 335is bénéficie d’un couple plus élevé, cependant, et son pic se pointe le nez à seulement 1 500 tr/min. En comparaison, le V8 de la M3 développe ses 295 livres-pied à 3 900 tr/min. Cela signifie que cette voiture décolle comme une fusée, et semble plus rapide que la M3. Ce n’est pas une mauvaise chose.
La voiture exhibe également une excellente tenue de route, une direction chirurgicale et un roulement sec en ville. Vous savez, ces caractéristiques qui font partie de chaque Série 3. La 335is se montre certainement divertissante, par contre comme bien des voitures sport puissantes, elle mérite mieux d’être exploitée sur un circuit fermé.
À 100 km/h sur l’autoroute, le moteur vire à seulement 2 000 tr/min, alors l’habitacle conserve sa tranquillité. Notre moyenne de 11,5 L/100 km durant le test reflète le comportement superbe du moteur : à bas régime, les turbos prennent une pause-café et la consommation d’essence reste basse. Mais quand vous voulez ou que vous avez besoin de plus de puissance, elle vous est livrée promptement et non violemment.
L’habitacle du Coupé, pratiquement inchangé depuis 2007, commence à se faire vieux. La 335is obtient tout de même des gaines en Alcantara pour le levier de vitesses et le levier du frein à main, des garnitures du tableau de bord en aluminium et des pédales en acier inoxydable, ce qui rehausse l’atmosphère quelque peu.
La voiture englobe une foule de caractéristiques de série, incluant sellerie de cuir, sièges sport à l’avant chauffants et à réglage électrique, climatiseur automatique bizone, toit ouvrant vitré à commande électrique, connectivité Bluetooth et port USB avec intégration iPod.
On parle d’une petite voiture, alors l’espace intérieur n’a rien de fameux. Néanmoins, on s’y attend. Accéder aux places arrière nécessite quelques contorsions, or une fois en place on se sent à l’aise pour un bout de temps. Les occupants des places avant profitent d’assistants pour les ceintures de sécurité : il s’agit de petits bras qui poussent les ceintures afin de les rapprocher aux passagers à l’avant.
La voiture exhibe également une excellente tenue de route, une direction chirurgicale et un roulement sec en ville. Vous savez, ces caractéristiques qui font partie de chaque Série 3. La 335is se montre certainement divertissante, par contre comme bien des voitures sport puissantes, elle mérite mieux d’être exploitée sur un circuit fermé.
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| Le 0-100 km/h s’effectue en 5,2 secondes, à un cheveu de la M3. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
À 100 km/h sur l’autoroute, le moteur vire à seulement 2 000 tr/min, alors l’habitacle conserve sa tranquillité. Notre moyenne de 11,5 L/100 km durant le test reflète le comportement superbe du moteur : à bas régime, les turbos prennent une pause-café et la consommation d’essence reste basse. Mais quand vous voulez ou que vous avez besoin de plus de puissance, elle vous est livrée promptement et non violemment.
L’habitacle du Coupé, pratiquement inchangé depuis 2007, commence à se faire vieux. La 335is obtient tout de même des gaines en Alcantara pour le levier de vitesses et le levier du frein à main, des garnitures du tableau de bord en aluminium et des pédales en acier inoxydable, ce qui rehausse l’atmosphère quelque peu.
La voiture englobe une foule de caractéristiques de série, incluant sellerie de cuir, sièges sport à l’avant chauffants et à réglage électrique, climatiseur automatique bizone, toit ouvrant vitré à commande électrique, connectivité Bluetooth et port USB avec intégration iPod.
On parle d’une petite voiture, alors l’espace intérieur n’a rien de fameux. Néanmoins, on s’y attend. Accéder aux places arrière nécessite quelques contorsions, or une fois en place on se sent à l’aise pour un bout de temps. Les occupants des places avant profitent d’assistants pour les ceintures de sécurité : il s’agit de petits bras qui poussent les ceintures afin de les rapprocher aux passagers à l’avant.
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| L’habitacle de la voiture, inchangé depuis 2007, commence à se faire vieux. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |