Une fois à bord, la vie ne devient pas nécessairement toujours confortable. L'usage du système iDrive (le système de gestion multimédia et de la climatisation) demande un long apprentissage; même après une semaine, il me fallait me questionner chaque fois que je voulais changer quelque chose. Bref, même si on le dit simplifié, le iDrive donne toujours l'impression d'avoir été inventé par le concepteur du cube Rubik !
Tout n'est pas que défaut, cependant. Les sièges sont plutôt confortables et proposent un bon nombre de réglages qui facilitent la recherche d'une bonne position de conduite. Et les passagers à toutes les positions profitent d'un dégagement largement suffisant pour ne pas être incommodés.
Et sur la route
En conduite, le BMW X5 xDrive35d (j'avais oublié cette portion pourtant importante...) se montre agréable et relativement amusant, relativement étant ici le mot clé. À vitesse de croisière, par exemple, la direction répond avec vigueur et précision, laissant au pilote tout le contrôle souhaité.
À vitesse de stationnement, cependant, le volant devient presque aussi lourd à manoeuvrer que mes petits haltères d'exercice; il faut alors insister un peu pour assurer une conduite souple (évidemment, j'exagère, mais vous avez compris...).
Mais tout n'est pas que défaut, et le freinage du X5 est un véritable exemple du genre : efficace, sans délai, il répond avec précision et sans jamais se fatiguer. Autre beau côté du X5, sa boîte de vitesses automatique (dont le levier est un peu étrange mais auquel on s'habitue rapidement) répond au millième de seconde, ne laissant jamais planer le moindre doute sur son rôle et son intervention, tant en montée qu'en descente de régime.
Et bien entendu, la transmission intégrale xDrive offre une éblouissante performance, rapide et sans jamais hésiter ou s'interposer avec trop d'insistance.
Conclusion
J'ai été clair dès le début : je suis un fanatique du diesel, et quelques jours au volant du X5 n'ont fait que confirmer ma position. Bien sûr, on souhaiterait quelques améliorations au véhicule lui-même, mais la qualité du moteur et le confort de l'habitacle font bien vite oublier les quelques petites réticences.
photo:BMW
Tout n'est pas que défaut, cependant. Les sièges sont plutôt confortables et proposent un bon nombre de réglages qui facilitent la recherche d'une bonne position de conduite. Et les passagers à toutes les positions profitent d'un dégagement largement suffisant pour ne pas être incommodés.
Et sur la route
En conduite, le BMW X5 xDrive35d (j'avais oublié cette portion pourtant importante...) se montre agréable et relativement amusant, relativement étant ici le mot clé. À vitesse de croisière, par exemple, la direction répond avec vigueur et précision, laissant au pilote tout le contrôle souhaité.
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| En conduite, le BMW X5 xDrive35d se montre agréable et relativement amusant. |
À vitesse de stationnement, cependant, le volant devient presque aussi lourd à manoeuvrer que mes petits haltères d'exercice; il faut alors insister un peu pour assurer une conduite souple (évidemment, j'exagère, mais vous avez compris...).
Mais tout n'est pas que défaut, et le freinage du X5 est un véritable exemple du genre : efficace, sans délai, il répond avec précision et sans jamais se fatiguer. Autre beau côté du X5, sa boîte de vitesses automatique (dont le levier est un peu étrange mais auquel on s'habitue rapidement) répond au millième de seconde, ne laissant jamais planer le moindre doute sur son rôle et son intervention, tant en montée qu'en descente de régime.
Et bien entendu, la transmission intégrale xDrive offre une éblouissante performance, rapide et sans jamais hésiter ou s'interposer avec trop d'insistance.
Conclusion
J'ai été clair dès le début : je suis un fanatique du diesel, et quelques jours au volant du X5 n'ont fait que confirmer ma position. Bien sûr, on souhaiterait quelques améliorations au véhicule lui-même, mais la qualité du moteur et le confort de l'habitacle font bien vite oublier les quelques petites réticences.
photo:BMW
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