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Buick Enclave CX 2009 : essai routier

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Le meilleur taux d'intérêt
Bertrand Godin
Un voyage en classe affaire
Une balade en Buick Enclave n’a rien d’un voyage en première classe, du moins pas en version CX. Quoique loin de la classe économique, considérez que vous voyagez en classe affaire.

L’Enclave est l’un des nombreux multisegments créés en remplacement des minifourgonnettes.

Cet utilitaire respire la qualité, le confort et le goût du luxe. À mon avis l’Enclave demeure un très beau véhicule avec une recherche prononcée du style.

De l’extérieur, même en version de « base CX », il abonde de détails esthétiques. Mises à part les jantes, il reste presque identique au modèle CXL. On retrouve tout ce qui est propre à Buick, les trois ouies latérales indiquant le nombre de cylindres, la calandre en chute d’eau, et les feux arrière cerclés de chrome.

L’effet de vague sur la paroi latérale issue du renflement des arches de roues atténue beaucoup la grosseur du véhicule. Dans l’ensemble, l’extérieur de l’Enclave possède beaucoup de classe, mais demeure réservé, exactement ce à quoi l’on s’attend d’un Buick.

Veuillez prendre siège
Dans l’habitacle, même en absence de cuir, on se retrouve dans un environnement qui inspire les longues randonnées. L’Enclave est passé maître dans l’art des longs trajets et là, je parle bien de neuf ou dix heures de route sans problème. Que vous soyez assis à l’avant ou à l’arrière, vous profiterez du plus grand confort.

Les fausses boiseries ainsi que les plastiques mous nous entourent, le tout dans un style presque baroque, mais sans tomber dans l’excès. Chacun trouvera son aise dans cet espace très généreux et aisé.

Pas de classe économique
Rarement dans l’industrie, la troisième rangée de sièges est assez confortable pour y installer des adultes quelques heures sans trop de désagrément. On y accède d’ailleurs facilement, avec la deuxième rangée qui se rabat largement pour libérer l’accès.

En conservant la configuration à deux rangées, on obtient un coffre caverneux qui le devient davantage avec la deuxième rangée rabattue. Impressionnant.

Dans l’habitacle, même en absence de cuir, on se retrouve dans un environnement qui inspire les longues randonnées.
Bertrand Godin
Bertrand Godin
Expert automobile
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