Alternative aux fourgonnettes
Après tout, GM l'offre avec un habitacle à sept ou huit places, selon l'aménagement choisi. Comme une fourgonnette Terraza, l'Enclave dispose de trois rangées de sièges. La rangée médiane peut avoir une banquette 60/40 à trois places ou deux sièges baquets séparés par une console de rangement. À la rangée arrière, on retrouve une petite banquette biplace escamotable, assez confortable pour des enfants ou des adultes de petite taille. Car, malgré le système SmartSlide, conçu pour faciliter l'embarquement, il demeure qu'une dose de souplesse reste utile pour y accéder et en ressortir.
Les sièges de la rangée médiane et de la rangée arrière sont escamotables. Une fois qu'on a replié ces sièges, on dispose d'une aire de chargement plus volumineuse que celle de la fourgonnette Buick Rendezvous (3259 litres contre 3084).
On pourrait croire également que, quand la banquette arrière est en place, le volume de l'aire de chargement serait minime, avec seulement 535 litres. Une comparaison de l'Enclave avec ses rivaux permet de constater le contraire. Le Hyundai Veracruz, par exemple, offre un volume utile d'à peine 184 litres derrière sa banquette arrière, quand elle est en place; le nouveau Toyota Highlander, seulement 290 litres; le Mazda CX-9, enfin, 487 litres. Une heureuse constatation.
Intérieur excentrique
L'esthétique de l'habitacle adopte un style excentrique qui sied bien à celui de la carrosserie. Pour un produit Buick, le coup d'oeil est saisissant. Il n'a rien à envier à l'élégance d'un véhicule comme l'Infiniti FX45, réputé pour l'originalité de son style. C'est le résultat d'un design soigné, rehaussé par l'usage judicieux d'appliques de similibois (de bon goût, j'avoue, et utilisées généreusement), de moulures d'aluminium brossé et chromé et, même, d'un superbe volant au boudin fait d'acajou véritable et qu'on adore palper en conduisant !
Des sièges baquets très amples procurent un confort princier aux passagers avant. Les commandes électriques servant à régler le siège du conducteur demeurent toutefois perfectibles. Le confort de la banquette médiane à trois places peut être qualifié de « convenable ».
L'Enclave est animé par un V6 de 3,6 litres qui développe 275 chevaux. Un moteur moderne doté d'un système de calage variable des soupapes qui permet à ce mastodonte de deux tonnes d'atteindre 100 km/h en 8 secondes à peine. Des performances qui se payent à la pompe cependant, car la consommation moyenne de carburant observée durant nos essais a dépassé 14,5 litres aux 100 kilomètres.
Après tout, GM l'offre avec un habitacle à sept ou huit places, selon l'aménagement choisi. Comme une fourgonnette Terraza, l'Enclave dispose de trois rangées de sièges. La rangée médiane peut avoir une banquette 60/40 à trois places ou deux sièges baquets séparés par une console de rangement. À la rangée arrière, on retrouve une petite banquette biplace escamotable, assez confortable pour des enfants ou des adultes de petite taille. Car, malgré le système SmartSlide, conçu pour faciliter l'embarquement, il demeure qu'une dose de souplesse reste utile pour y accéder et en ressortir.
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| La capacité de chargement passe de 535 litres à 3259 litres lorsque les sièges arrière sont repliés. |
Les sièges de la rangée médiane et de la rangée arrière sont escamotables. Une fois qu'on a replié ces sièges, on dispose d'une aire de chargement plus volumineuse que celle de la fourgonnette Buick Rendezvous (3259 litres contre 3084).
On pourrait croire également que, quand la banquette arrière est en place, le volume de l'aire de chargement serait minime, avec seulement 535 litres. Une comparaison de l'Enclave avec ses rivaux permet de constater le contraire. Le Hyundai Veracruz, par exemple, offre un volume utile d'à peine 184 litres derrière sa banquette arrière, quand elle est en place; le nouveau Toyota Highlander, seulement 290 litres; le Mazda CX-9, enfin, 487 litres. Une heureuse constatation.
Intérieur excentrique
L'esthétique de l'habitacle adopte un style excentrique qui sied bien à celui de la carrosserie. Pour un produit Buick, le coup d'oeil est saisissant. Il n'a rien à envier à l'élégance d'un véhicule comme l'Infiniti FX45, réputé pour l'originalité de son style. C'est le résultat d'un design soigné, rehaussé par l'usage judicieux d'appliques de similibois (de bon goût, j'avoue, et utilisées généreusement), de moulures d'aluminium brossé et chromé et, même, d'un superbe volant au boudin fait d'acajou véritable et qu'on adore palper en conduisant !
Des sièges baquets très amples procurent un confort princier aux passagers avant. Les commandes électriques servant à régler le siège du conducteur demeurent toutefois perfectibles. Le confort de la banquette médiane à trois places peut être qualifié de « convenable ».
L'Enclave est animé par un V6 de 3,6 litres qui développe 275 chevaux. Un moteur moderne doté d'un système de calage variable des soupapes qui permet à ce mastodonte de deux tonnes d'atteindre 100 km/h en 8 secondes à peine. Des performances qui se payent à la pompe cependant, car la consommation moyenne de carburant observée durant nos essais a dépassé 14,5 litres aux 100 kilomètres.
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| Les 275 chevaux suffisent, mais rendent le V6 quelque peu gourmand. |