Le système peut produire l’équivalent de 15 chevaux et 79 livres-pied de couple, soit assez de jus pour aider en accélération, mais pas assez pour mouvoir la voiture de façon réaliste à lui seul. Et dans cette configuration, le moteur électrique ne travaille jamais indépendamment du moteur à essence.
Le quatre-cylindres de 2,4 litres produit, quant à lui, 182 chevaux et 172 livres-pied de couple.
Le générateur recharge le bloc de batteries et il permet également le freinage par récupération. En fait, lorsqu’on freine, on ordonne au générateur de mettre une certaine charge sur le moteur, ce qui ralentit la voiture et permet au générateur de créer beaucoup d’énergie. Les freins traditionnels travaillent de concert avec cette fonction de récupération.
L’eAssist comprend aussi un dispositif de marche-arrêt automatique. Le moteur à combustion interne s’éteint quand la voiture s’immobilise en circulation et aux intersections. Le moteur-générateur le redémarre ensuite en entraînant le vilebrequin.
Le bloc de batteries au lithium-ion de 115 volts alimente tous les dispositifs électriques de la Buick, que le moteur à combustion interne tourne ou non. Le seul temps où la batterie « ordinaire » sert à démarrer la voiture, c’est quand on monte initialement à bord.
L’eAssist propose également une fonction agressive qui coupe les gaz, question d’économiser davantage et d’optimiser les possibilités de récupération d’énergie.
Enfin, une nouvelle boîte automatique à six rapports et un ensemble aérodynamique semblable à celui de la Cruze Eco (obturateurs d’air actifs dans la calandre inférieure, jupe, panneaux aérodynamiques sous la carrosserie, pneu à faible résistance au roulement) complètent l’assaut.
Souple, silencieuse, raffinée
Nous avons eu la chance d’essayer la Buick LaCrosse eAssist par un superbe après-midi dans le nord de la Californie, où nous avons même sillonné la légendaire Pacific Coast Highway.
Quand on accélère doucement, on ne s’aperçoit pas qu’il y a assistance électrique. Pas que la puissance laisse à désirer, mais plutôt qu’on a parfaitement intégré le couple électrique aux organes de transmission. Aucune brusquerie. En général, la puissance semble idéalement adéquate pour un véhicule de luxe de cette taille.
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| Le modèle eAssist brûlera 17 % moins d’essence sur la route et 23 % moins en ville, à savoir 5,4 L/100 km et 8,3 L/100 km. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |
Le quatre-cylindres de 2,4 litres produit, quant à lui, 182 chevaux et 172 livres-pied de couple.
Le générateur recharge le bloc de batteries et il permet également le freinage par récupération. En fait, lorsqu’on freine, on ordonne au générateur de mettre une certaine charge sur le moteur, ce qui ralentit la voiture et permet au générateur de créer beaucoup d’énergie. Les freins traditionnels travaillent de concert avec cette fonction de récupération.
L’eAssist comprend aussi un dispositif de marche-arrêt automatique. Le moteur à combustion interne s’éteint quand la voiture s’immobilise en circulation et aux intersections. Le moteur-générateur le redémarre ensuite en entraînant le vilebrequin.
Le bloc de batteries au lithium-ion de 115 volts alimente tous les dispositifs électriques de la Buick, que le moteur à combustion interne tourne ou non. Le seul temps où la batterie « ordinaire » sert à démarrer la voiture, c’est quand on monte initialement à bord.
L’eAssist propose également une fonction agressive qui coupe les gaz, question d’économiser davantage et d’optimiser les possibilités de récupération d’énergie.
Enfin, une nouvelle boîte automatique à six rapports et un ensemble aérodynamique semblable à celui de la Cruze Eco (obturateurs d’air actifs dans la calandre inférieure, jupe, panneaux aérodynamiques sous la carrosserie, pneu à faible résistance au roulement) complètent l’assaut.
Souple, silencieuse, raffinée
Nous avons eu la chance d’essayer la Buick LaCrosse eAssist par un superbe après-midi dans le nord de la Californie, où nous avons même sillonné la légendaire Pacific Coast Highway.
Quand on accélère doucement, on ne s’aperçoit pas qu’il y a assistance électrique. Pas que la puissance laisse à désirer, mais plutôt qu’on a parfaitement intégré le couple électrique aux organes de transmission. Aucune brusquerie. En général, la puissance semble idéalement adéquate pour un véhicule de luxe de cette taille.
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| Quand on accélère doucement, on ne s’aperçoit pas qu’il y a assistance électrique. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |