Il faudrait vraiment avoir vécu dans le fin fond du Sahara pour ne pas connaître la marque Cadillac. Si vous avez 50 ans ou plus, vous vous rappelez sans doute l'histoire de cet aristocrate qui a fondé Détroit en 1701, Antoine de Lamothe, sieur de Cadillac. Si vous possédiez et conduisiez une Cadillac, c'est parce que vous aviez très bien réussi dans la vie.
Oh comme les temps ont changé! Sans trop entrer dans les détails de l'histoire de Cadillac, je dois dire que ses succès et ses échecs n'ont connu que les extrêmes. Les décennies 80 et 90 ont été marquées par une foule de mauvaises décisions, de mauvaises voitures et d'un manque flagrant de clairvoyance. Une résurrection s'est toutefois amorcée en 2003 avec le lancement de la CTS (je ne compte pas la Catera et oublions l'Escalade...).
Nouvelle ère
Dans les faits, la CTS s'est imposée à partir de l'année-modèle 2008, qui marquait la naissance de sa deuxième génération. Entièrement retravaillée et redessinée, la nouvelle CTS pave la voie aux futurs véhicules de Cadillac et au Cadillac du futur. «Audacieuse» et «dynamique» ne sont que deux adjectifs parmi tant d'autres qui permettent de décrire la nouvelle signature visuelle de la marque, qui consiste en une calandre et des phares aux dimensions généreuses ainsi qu'une accentuation chromée de bon goût.
Même si la berline aurait très bien pu se débrouiller seule, Cadillac a décidé d'imiter les Allemands et de multiplier les configurations. En plus du nouveau coupé, il existe maintenant une «familiale sport», un genre que j'aime beaucoup, dois-je vous rappeler. En fait, cette version de la CTS s'avère ma préférée et je crois qu'elle illustre joliment l'ambition de la compagnie : ne pas reculer devant la compétition et même passer à l'attaque!
Je raffole des feux arrière tout en long, du hayon court et discret ainsi que des longerons de toit quasi affleurants de cette voiture. À mes yeux, la familiale sport exprime parfaitement la physionomie agressive et les lignes saillantes de la CTS. En un mot : superbe!
 |
| La nouvelle CTS pave la voie aux futurs véhicules de Cadillac et au Cadillac du futur. |
Oh comme les temps ont changé! Sans trop entrer dans les détails de l'histoire de Cadillac, je dois dire que ses succès et ses échecs n'ont connu que les extrêmes. Les décennies 80 et 90 ont été marquées par une foule de mauvaises décisions, de mauvaises voitures et d'un manque flagrant de clairvoyance. Une résurrection s'est toutefois amorcée en 2003 avec le lancement de la CTS (je ne compte pas la Catera et oublions l'Escalade...).
Nouvelle ère
Dans les faits, la CTS s'est imposée à partir de l'année-modèle 2008, qui marquait la naissance de sa deuxième génération. Entièrement retravaillée et redessinée, la nouvelle CTS pave la voie aux futurs véhicules de Cadillac et au Cadillac du futur. «Audacieuse» et «dynamique» ne sont que deux adjectifs parmi tant d'autres qui permettent de décrire la nouvelle signature visuelle de la marque, qui consiste en une calandre et des phares aux dimensions généreuses ainsi qu'une accentuation chromée de bon goût.
Même si la berline aurait très bien pu se débrouiller seule, Cadillac a décidé d'imiter les Allemands et de multiplier les configurations. En plus du nouveau coupé, il existe maintenant une «familiale sport», un genre que j'aime beaucoup, dois-je vous rappeler. En fait, cette version de la CTS s'avère ma préférée et je crois qu'elle illustre joliment l'ambition de la compagnie : ne pas reculer devant la compétition et même passer à l'attaque!
Je raffole des feux arrière tout en long, du hayon court et discret ainsi que des longerons de toit quasi affleurants de cette voiture. À mes yeux, la familiale sport exprime parfaitement la physionomie agressive et les lignes saillantes de la CTS. En un mot : superbe!
 |
| Le moteur de 3,6 litres se montre puissant et impatient de faire prendre à la bête de 1900 kilos sa vitesse de croisière. |