On propose une seule boîte de vitesses, une automatique à six rapports avec mode Eco qui réduit la consommation en altérant les points de changement de vitesses. Fait intéressant, une fois le mode Eco sélectionné, il reste activé même quand on éteint et redémarre la voiture. Nous nous en sommes servis pour la majorité de notre trajet autoroutier, et contrairement aux systèmes des constructeurs rivaux, celui-ci ne donnait pas l’impression que le SRX devenait paresseux.
Les modèles huppés et performants profitent d’une suspension active sport, un système d’amortissement variable qui s’adapte aux conditions routières en quelques millisecondes. On active le mode Sport en déplaçant le levier de vitesses vers la gauche; il rapproche les points de changement de vitesses, recalibre la réponse du moteur et raffermit électroniquement l’amortissement.
La voix du moteur devient plus agressive, mais on ne parle toutefois pas de rugissement. En donnant un petit coup de levier vers l’avant ou l’arrière, le conducteur change les rapports lui-même. Nous aurions préféré des palettes au volant, mais hélas, la SRX ne les propose pas.
Nous avons passé la matinée au volant de la version à traction, puis l’avons troquée pour la SRX4 à TI. Il comprend un différentiel arrière électronique à glissement limité qui distribue le couple entre le train avant et arrière, ou de chaque côté au besoin. Des deux, nous avons préféré la SRX à traction, plus agile et nerveuse.
Dans ce segment, l’acheteur peut s’attendre à être traité aux petits oignons, et parmi les raffinements du SRX, notons l’interface Bluetooth de série avec reconnaissance vocale, un volant chauffant, des sièges à mémorisation et une nouvelle garniture ébène optionnelle. OnStar est inclus de série, avec la navigation pas à pas et l’assistance pour véhicule volé.
Les sièges en cuir sont confortables pour les longs trajets, et l’habitacle est on ne peut plus silencieux grâce à l’isolation supplémentaire dans les arches de roues et derrière le tableau de bord et les instruments. Des ingénieurs et agents de marketing de Cadillac nous ont accompagnés tour à tour, dont une armoire à glace de 6 pieds 5 dont la tête frôlait quasiment la ligne de toit plongeante, mais même lui disposait d’amplement de dégagement pour ses jambes.
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| On propose une seule boîte de vitesses, une automatique à six rapports avec mode Eco. (Photo: General Motors) |
Les modèles huppés et performants profitent d’une suspension active sport, un système d’amortissement variable qui s’adapte aux conditions routières en quelques millisecondes. On active le mode Sport en déplaçant le levier de vitesses vers la gauche; il rapproche les points de changement de vitesses, recalibre la réponse du moteur et raffermit électroniquement l’amortissement.
La voix du moteur devient plus agressive, mais on ne parle toutefois pas de rugissement. En donnant un petit coup de levier vers l’avant ou l’arrière, le conducteur change les rapports lui-même. Nous aurions préféré des palettes au volant, mais hélas, la SRX ne les propose pas.
Nous avons passé la matinée au volant de la version à traction, puis l’avons troquée pour la SRX4 à TI. Il comprend un différentiel arrière électronique à glissement limité qui distribue le couple entre le train avant et arrière, ou de chaque côté au besoin. Des deux, nous avons préféré la SRX à traction, plus agile et nerveuse.
Dans ce segment, l’acheteur peut s’attendre à être traité aux petits oignons, et parmi les raffinements du SRX, notons l’interface Bluetooth de série avec reconnaissance vocale, un volant chauffant, des sièges à mémorisation et une nouvelle garniture ébène optionnelle. OnStar est inclus de série, avec la navigation pas à pas et l’assistance pour véhicule volé.
Les sièges en cuir sont confortables pour les longs trajets, et l’habitacle est on ne peut plus silencieux grâce à l’isolation supplémentaire dans les arches de roues et derrière le tableau de bord et les instruments. Des ingénieurs et agents de marketing de Cadillac nous ont accompagnés tour à tour, dont une armoire à glace de 6 pieds 5 dont la tête frôlait quasiment la ligne de toit plongeante, mais même lui disposait d’amplement de dégagement pour ses jambes.
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| Les sièges en cuir sont confortables pour les longs trajets. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |