La position de conduite est trop basse, et la ceinture de caisse, celle-là même qui donne du style, empêche aussi de profiter de la vue vers l’extérieur. Quant à la visibilité arrière… disons tout bonnement qu’une caméra de recul devrait être fournie sur ce genre de véhicule!
Une SS, simplement!
Quand on m’a confié les clés de la Camaro, c’est avec plaisir que j’ai vu que je conduirais la rutilante et, croyais-je, très dynamique version SS. Ma joie ne s’est pas estompée au courant de la semaine même si, je dois l’avouer, certains aspects de la voiture n’ont pas atteint mes exigences.
Il faut d’abord comprendre que le premier charme d’une voiture de sport réside dans sa sonorité. Dès que l’on tourne le contact, la vibration du gros V8 devrait nous rappeler l’époque de ces violents Muscle car. La Camaro SS joue néanmoins cette carte un peu trop timidement pour être vraiment satisfaisante. On aurait intérêt à revoir ce léger détail chez Chevrolet.
Par contre, une fois le tout en marche, la Camaro SS n’a pas à rougir. Les accélérations se révèlent étonnantes de vivacité, les freinages efficaces bien qu’un peu longs, ce qui s’explique par le poids élevé de la voiture et, à ma grande surprise, la tenue de route reste plutôt sans reproche.
En regardant le long empattement de la voiture, et le compromis fait au niveau des suspensions pour en assurer le confort, je craignais une voiture trop molle et peu dynamique. Je l’admets, jamais la Camaro SS n’a failli à la tâche dans ce domaine.
Évidemment, pas question de parler confort ou espace pour les passagers, le Muscle Car américain n’a définitivement pas cette vocation, et personne n’aura assez de courage pour séjourner aux places arrière pour plus de quelques secondes sans ressentir de lourds regrets.
Conclusion
La Camaro a du style, rien à redire là-dessus. Même si elle est probablement, des trois grands Muscle Car américains, celle qui rend le moins l’aspect nostalgique de la chose, elle reste tout de même spectaculaire et fait tourner les têtes à chacun de ces passages.
Mécaniquement, elle rejoint aussi les exigences, sans toutefois vraiment les surpasser. Mais les défauts de l’habitacle ne se laissent pas oublier aussi aisément. Alors une fois que les enthousiastes auront tous leur nouvelle Camaro, pas certain qu’elle saura conquérir les cœurs autant qu’on aurait pu l’espérer.
Une SS, simplement!
Quand on m’a confié les clés de la Camaro, c’est avec plaisir que j’ai vu que je conduirais la rutilante et, croyais-je, très dynamique version SS. Ma joie ne s’est pas estompée au courant de la semaine même si, je dois l’avouer, certains aspects de la voiture n’ont pas atteint mes exigences.
Il faut d’abord comprendre que le premier charme d’une voiture de sport réside dans sa sonorité. Dès que l’on tourne le contact, la vibration du gros V8 devrait nous rappeler l’époque de ces violents Muscle car. La Camaro SS joue néanmoins cette carte un peu trop timidement pour être vraiment satisfaisante. On aurait intérêt à revoir ce léger détail chez Chevrolet.
Par contre, une fois le tout en marche, la Camaro SS n’a pas à rougir. Les accélérations se révèlent étonnantes de vivacité, les freinages efficaces bien qu’un peu longs, ce qui s’explique par le poids élevé de la voiture et, à ma grande surprise, la tenue de route reste plutôt sans reproche.
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| La Camaro a du style, rien à redire là-dessus. (Photo: Chevrolet) |
En regardant le long empattement de la voiture, et le compromis fait au niveau des suspensions pour en assurer le confort, je craignais une voiture trop molle et peu dynamique. Je l’admets, jamais la Camaro SS n’a failli à la tâche dans ce domaine.
Évidemment, pas question de parler confort ou espace pour les passagers, le Muscle Car américain n’a définitivement pas cette vocation, et personne n’aura assez de courage pour séjourner aux places arrière pour plus de quelques secondes sans ressentir de lourds regrets.
Conclusion
La Camaro a du style, rien à redire là-dessus. Même si elle est probablement, des trois grands Muscle Car américains, celle qui rend le moins l’aspect nostalgique de la chose, elle reste tout de même spectaculaire et fait tourner les têtes à chacun de ces passages.
Mécaniquement, elle rejoint aussi les exigences, sans toutefois vraiment les surpasser. Mais les défauts de l’habitacle ne se laissent pas oublier aussi aisément. Alors une fois que les enthousiastes auront tous leur nouvelle Camaro, pas certain qu’elle saura conquérir les cœurs autant qu’on aurait pu l’espérer.
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