Saviez-vous que, depuis 1970, Volvo s'est jointe en partenariat au gouvernement de la Suède et à l'association des assureurs du pays pour étudier les accidents impliquant des Volvo en Suède ? À ce jour, plus de 36 000 accidents ont été analysés. Une équipe de Volvo est disponible 24 heures sur 24 pour se rendre sur les lieux d'accidents sérieux pour recueillir toutes les données possibles qui les aideront à concevoir et à améliorer les voitures qu'ils construisent. À partir de ces données, le groupe de recherche établit un objectif d'amélioration d'un ou de plusieurs aspects de la sécurité active ou passive d'un véhicule. Cet objectif se transforme en projet de recherche réalisable; de là, on développe un prototype qu'on teste pour ensuite proposer sa mise en production.
Un siège pour bébé
Saviez-vous que le poids de la tête d'un bébé par rapport au reste de son corps équivaut à celle d'un adulte qui porte un casque de 10,5 kilogrammes ? Vous pouvez en faire l'essai au Centre d'accueil de la firme, à Göteborg. À la suite des données recueillies, en 1972, Volvo a mis au point un premier banc permettant d'asseoir un enfant dans une voiture afin de le protéger des impacts lors d'une collision. Volvo en développera plusieurs et intégrera au XC90 le fameux « booster » pour que les jeunes enfants puissent voir dehors...
Et le conducteur ?
Non seulement faut-il penser à protéger les occupants, croit-on du côté de Volvo, mais on doit penser au confort du conducteur, à son bien-être, à l'attention qu'il doit porter à la conduite et à l'information qu'il doit recevoir et capter pour conduire un véhicule. Ce sont ces nouveaux principes qui guident les ingénieurs comme Thomas Broberg dans la conception des véhicules d'aujourd'hui et de demain.
Thomas résume l'approche ainsi : vous roulez sur la route, il n'y a pas de danger, aucune distraction, aucun appel. Vous êtes donc à votre meilleur. Puis soudain, le conducteur repère, par exemple, une voiture accidentée sur la chaussée. Il doit réagir rapidement. S'il le fait, le rôle de la voiture consiste à l'assister dans les manoeuvres d'évitement (freinage, virage). S'il prend trop de temps à réagir ou s'il ne semble pas capable de compléter la manoeuvre d'évitement, les systèmes d'aide et de contrôle de la stabilité et d'assistance au freinage doivent alors se substituer à lui et intervenir avec force pour l'aider. Et si la voiture ne peut éviter l'impact, elle doit préparer, en quelques millisecondes, l'habitacle à réduire l'impact de la collision (coussins et rideaux gonflables, prétension des ceintures).
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Un siège pour bébé
Saviez-vous que le poids de la tête d'un bébé par rapport au reste de son corps équivaut à celle d'un adulte qui porte un casque de 10,5 kilogrammes ? Vous pouvez en faire l'essai au Centre d'accueil de la firme, à Göteborg. À la suite des données recueillies, en 1972, Volvo a mis au point un premier banc permettant d'asseoir un enfant dans une voiture afin de le protéger des impacts lors d'une collision. Volvo en développera plusieurs et intégrera au XC90 le fameux « booster » pour que les jeunes enfants puissent voir dehors...
Et le conducteur ?
Non seulement faut-il penser à protéger les occupants, croit-on du côté de Volvo, mais on doit penser au confort du conducteur, à son bien-être, à l'attention qu'il doit porter à la conduite et à l'information qu'il doit recevoir et capter pour conduire un véhicule. Ce sont ces nouveaux principes qui guident les ingénieurs comme Thomas Broberg dans la conception des véhicules d'aujourd'hui et de demain.
Thomas résume l'approche ainsi : vous roulez sur la route, il n'y a pas de danger, aucune distraction, aucun appel. Vous êtes donc à votre meilleur. Puis soudain, le conducteur repère, par exemple, une voiture accidentée sur la chaussée. Il doit réagir rapidement. S'il le fait, le rôle de la voiture consiste à l'assister dans les manoeuvres d'évitement (freinage, virage). S'il prend trop de temps à réagir ou s'il ne semble pas capable de compléter la manoeuvre d'évitement, les systèmes d'aide et de contrôle de la stabilité et d'assistance au freinage doivent alors se substituer à lui et intervenir avec force pour l'aider. Et si la voiture ne peut éviter l'impact, elle doit préparer, en quelques millisecondes, l'habitacle à réduire l'impact de la collision (coussins et rideaux gonflables, prétension des ceintures).
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