CARROSSERIE
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Poser la question, c'est y répondre, mais beaucoup de constructeurs s'évertuent pourtant à faire le contraire. Pas Daewoo, qui ne propose qu'une seule configuration de la Leganza, soit une berline quatre portes, et deux versions, SX (base) et CDX. Cette dernière est une version tout équipée dans le vrai sens du terme, car aucune option n'est offerte ! Le modèle actuel a vu le jour en mars 1997, mais il n'a pas pris une ride ; la Leganza continue de se démarquer de ses ternes rivales japonaises par son physique agréable, gracieuseté du maître-styliste italien Giugiaro.
MÉCANIQUE
C'est aussi simple du côté mécanique, avec une seule motorisation, qui ne peut être jumelée qu'à une boîte automatique à 4 rapports. Sous le capot niche un quatre cylindres de 2,2 litres, dont les 131 chevaux assurent des performances correctes. Nous n'avons pas affaire à un lièvre, mais pas à une tortue non plus. Le tandem moteur-transmission démontre une belle compatibilité et le rendement de l'un comme de l'autre s'est avéré impeccable. Après 13 mois d'usage, le moteur continue de briller par sa sou-plesse et sa discrétion, tandis que la transmission travaille toujours aussi bien. Pour tout vous dire, cette rigueur dans l'exécution mécanique évoque les voitures japonaises. De plus, aucune anomalie mécanique n'est venue perturber la bonne marche de cet essai long terme.
COMPORTEMENT
L'élaboration des trains roulants a été confiée aux magiciens de Lotus, qui se sont montrés à la hauteur de leur réputation. Ils ont doté cette berline d'une douceur de roulement qui n'a rien à envier à des rivales aussi réputées que l'Accord et la Camry, tout en lui conférant un comportement des plus sains. Même si la Leganza tient la route avec un aplomb étonnant. Et encore, la piètre adhérence des pneus ne permet pas d'exploiter son plein potentiel. Précise, directe et bien dosée, la direction devrait servir d'exemple à la concurrence. En entrée de virage, la Leganza se place exactement là où on veut ; si on augmente le rythme, ses réactions sont prévisibles et on peut corriger aisément. Quant au roulis, il est fort bien maîtrisé. Pour couronner le tout, le châssis montre une belle rigidité. Tout cela est fort impressionnant, ma foi !
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Poser la question, c'est y répondre, mais beaucoup de constructeurs s'évertuent pourtant à faire le contraire. Pas Daewoo, qui ne propose qu'une seule configuration de la Leganza, soit une berline quatre portes, et deux versions, SX (base) et CDX. Cette dernière est une version tout équipée dans le vrai sens du terme, car aucune option n'est offerte ! Le modèle actuel a vu le jour en mars 1997, mais il n'a pas pris une ride ; la Leganza continue de se démarquer de ses ternes rivales japonaises par son physique agréable, gracieuseté du maître-styliste italien Giugiaro.
MÉCANIQUE
C'est aussi simple du côté mécanique, avec une seule motorisation, qui ne peut être jumelée qu'à une boîte automatique à 4 rapports. Sous le capot niche un quatre cylindres de 2,2 litres, dont les 131 chevaux assurent des performances correctes. Nous n'avons pas affaire à un lièvre, mais pas à une tortue non plus. Le tandem moteur-transmission démontre une belle compatibilité et le rendement de l'un comme de l'autre s'est avéré impeccable. Après 13 mois d'usage, le moteur continue de briller par sa sou-plesse et sa discrétion, tandis que la transmission travaille toujours aussi bien. Pour tout vous dire, cette rigueur dans l'exécution mécanique évoque les voitures japonaises. De plus, aucune anomalie mécanique n'est venue perturber la bonne marche de cet essai long terme.
COMPORTEMENT
L'élaboration des trains roulants a été confiée aux magiciens de Lotus, qui se sont montrés à la hauteur de leur réputation. Ils ont doté cette berline d'une douceur de roulement qui n'a rien à envier à des rivales aussi réputées que l'Accord et la Camry, tout en lui conférant un comportement des plus sains. Même si la Leganza tient la route avec un aplomb étonnant. Et encore, la piètre adhérence des pneus ne permet pas d'exploiter son plein potentiel. Précise, directe et bien dosée, la direction devrait servir d'exemple à la concurrence. En entrée de virage, la Leganza se place exactement là où on veut ; si on augmente le rythme, ses réactions sont prévisibles et on peut corriger aisément. Quant au roulis, il est fort bien maîtrisé. Pour couronner le tout, le châssis montre une belle rigidité. Tout cela est fort impressionnant, ma foi !