Vue de l'arrière, cette berline semble tout simplement diabolique. Les feux arrière rouge vif qui ceinturent les lettres de la marque et couvrent toute la largeur du derrière tronqué évoquent clairement la mode des années 1970. Les deux embouts d'échappement trapézoïdaux au bas ne passent pas inaperçus non plus, tandis que le pare-chocs massif et les ailes de roues proéminentes font en sorte que la section arrière paraît légèrement surélevée par rapport à l'avant - un autre rappel des muscle cars du bon vieux temps.
Parlant du bon vieux temps, impossible de passer sous silence le prodigieux moteur HEMI qui alimente la Dodge Charger R/T AWD 2011. Oui, cette version hérite bel et bien du V8 de 5,7 litres développant 370 chevaux et 395 livres-pied de couple. Avoir une telle arme à notre disposition s'avère drôlement excitant, même si j'étais un peu sceptique au départ. Après tout, la Charger se présente comme une grosse et lourde bête.
Toutefois, le HEMI la propulse à fond de train sans effort dès que le besoin s'en fait sentir. Bien que les passages de la boîte automatique à cinq rapports semblent un peu laborieux à l'occasion, il faut se rappeler que Dodge proposera une boîte à huit rapports l'an prochain. Donc, ne perdons pas espoir.
Une des caractéristiques uniques du moteur de la Charger se veut la technologie écoénergétique de cylindrée variable. En gros, ce système innovateur alterne discrètement entre huit et quatre cylindres, selon la puissance requise. À vitesse de croisière, le HEMI fait donc appel à moins de cylindres pour réduire sa consommation d'essence et nous faire économiser de l'argent. Tout le monde gagne.
J'ai bien aimé prendre place au volant, derrière ce long capot menaçant. Les modèles américains m'ont habitué à des plastiques rigides et à un manque de raffinement, mais la Charger R/T AWD 2011 m'a agréablement surprise. Les cadrans restent simples, ce qui est une bonne chose, car l'énorme écran de 8,4 pouces du système d'infodivertissement distrait déjà pas mal. Équipée d'un GPS Garmin, de la radio satellite, d'un port USB et de la technologie Bluetooth, la Charger réunit toutes les commodités modernes auxquelles on s'attend.
J'aimerais en profiter pour féliciter le constructeur pour son interface centrale. Puisque je change de véhicule d'essai à toutes les semaines, j'ai l'occasion de découvrir une foule de systèmes différents. Quelques-uns surclassent facilement les autres et c'est le cas ici. L'écran tactile répond sans délai et il demeure facile à utiliser en tout temps. De son côté, l'affichage de la radio satellite se met vite à jour, de sorte qu'on connaît la prochaine chanson avant même de l'entendre. Merci beaucoup, Chrysler.
Parlant du bon vieux temps, impossible de passer sous silence le prodigieux moteur HEMI qui alimente la Dodge Charger R/T AWD 2011. Oui, cette version hérite bel et bien du V8 de 5,7 litres développant 370 chevaux et 395 livres-pied de couple. Avoir une telle arme à notre disposition s'avère drôlement excitant, même si j'étais un peu sceptique au départ. Après tout, la Charger se présente comme une grosse et lourde bête.
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| Cette version hérite bel et bien du V8 de 5,7 litres développant 370 chevaux et 395 livres-pied de couple. (Photo: Dodge) |
Toutefois, le HEMI la propulse à fond de train sans effort dès que le besoin s'en fait sentir. Bien que les passages de la boîte automatique à cinq rapports semblent un peu laborieux à l'occasion, il faut se rappeler que Dodge proposera une boîte à huit rapports l'an prochain. Donc, ne perdons pas espoir.
Une des caractéristiques uniques du moteur de la Charger se veut la technologie écoénergétique de cylindrée variable. En gros, ce système innovateur alterne discrètement entre huit et quatre cylindres, selon la puissance requise. À vitesse de croisière, le HEMI fait donc appel à moins de cylindres pour réduire sa consommation d'essence et nous faire économiser de l'argent. Tout le monde gagne.
J'ai bien aimé prendre place au volant, derrière ce long capot menaçant. Les modèles américains m'ont habitué à des plastiques rigides et à un manque de raffinement, mais la Charger R/T AWD 2011 m'a agréablement surprise. Les cadrans restent simples, ce qui est une bonne chose, car l'énorme écran de 8,4 pouces du système d'infodivertissement distrait déjà pas mal. Équipée d'un GPS Garmin, de la radio satellite, d'un port USB et de la technologie Bluetooth, la Charger réunit toutes les commodités modernes auxquelles on s'attend.
J'aimerais en profiter pour féliciter le constructeur pour son interface centrale. Puisque je change de véhicule d'essai à toutes les semaines, j'ai l'occasion de découvrir une foule de systèmes différents. Quelques-uns surclassent facilement les autres et c'est le cas ici. L'écran tactile répond sans délai et il demeure facile à utiliser en tout temps. De son côté, l'affichage de la radio satellite se met vite à jour, de sorte qu'on connaît la prochaine chanson avant même de l'entendre. Merci beaucoup, Chrysler.
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| L'écran tactile répond sans délai et il demeure facile à utiliser en tout temps. (Photo: Dodge) |