Les officiels et dirigeants de la série DTM ont décidé de remplacer la course prévue en Chine par une autre à Zandvoort aux Pays-Bas.
La 9e étape du championnat 2014 sera donc présentée sur le tracé de Zandvoort, situé en bordure de la mer du Nord les 27 et 28 septembre.
Cette course devait être présentée à ces dates sur le circuit de Guangzhou en Chine. Mais elle a dû être annulée, car les changements devant être apportés pour le montage du circuit se sont avérés être beaucoup plus complexes (et probablement plus coûteux) que prévus.
Le DTM a ensuite songé à tenir la course sur un circuit permanent, mais cela n’a pas été possible.
Dans un communiqué de presse, le grand patron du DTM, Hans Werner Aufrecht (le monsieur de HWA), souligne que le DTM doit rencontrer certains standards quand il présente ses événements. Il ajoute qu’il en va de même pour la sécurité du circuit, les puits et les garages.
« De plus, un financement solide doit être garanti », ajoute-t-il. S’il le souligne, c’est peut-être parce que c’est sur ce point que les choses ont accroché.
Il conclut en affirmant que le DTM tient absolument à présenter un course dans le pays le plus peuplé du monde « et qui représente un marché majeur pour les constructeurs automobiles de luxe impliqués dans le DTM ».
La 9e étape du championnat 2014 sera donc présentée sur le tracé de Zandvoort, situé en bordure de la mer du Nord les 27 et 28 septembre.
Cette course devait être présentée à ces dates sur le circuit de Guangzhou en Chine. Mais elle a dû être annulée, car les changements devant être apportés pour le montage du circuit se sont avérés être beaucoup plus complexes (et probablement plus coûteux) que prévus.
Le DTM a ensuite songé à tenir la course sur un circuit permanent, mais cela n’a pas été possible.
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| Photo: DTM |
Dans un communiqué de presse, le grand patron du DTM, Hans Werner Aufrecht (le monsieur de HWA), souligne que le DTM doit rencontrer certains standards quand il présente ses événements. Il ajoute qu’il en va de même pour la sécurité du circuit, les puits et les garages.
« De plus, un financement solide doit être garanti », ajoute-t-il. S’il le souligne, c’est peut-être parce que c’est sur ce point que les choses ont accroché.
Il conclut en affirmant que le DTM tient absolument à présenter un course dans le pays le plus peuplé du monde « et qui représente un marché majeur pour les constructeurs automobiles de luxe impliqués dans le DTM ».