D'après GMM
Quadruple champion du monde de Formule 1, le Français Alain Prost, a affirmé que le monde de la F1 ne devait pas paniquer en ces temps difficiles.
L'ancien propriétaire de l'écurie Prost Grand Prix a aussi déclaré à l'agence de presse AP être heureux d'être aujourd'hui un spectateur et non pas un acteur de la F1.
« Il ne faut pas paniquer. Il y a une logique économique. Je préfère des gens qui disent 'on réduit' plutôt qu'on arrête'. À part Honda, il n'y a pas panique à bord », a déclaré Prost.
Et il ajoute ensuite : « En F1, il y a le même problème pour tous: continuer avec des budgets réduits. Les constructeurs et les écuries étaient allés trop loin. Je n'avais jamais connu la F1 avec une telle débauche de moyens comme ces dix dernières années ».
Prost, âgé de 53 et qui court en Trophée Andros de course sur glace, affirme qu'un certain « âge d'or » de la F1 est désormais révolu.
« Il y a moins de dépassements et beaucoup plus de stratégie. Tout se passe plus dans les stands. Les pilotes pensent seulement à la vitesse. Nous, il fallait préserver les freins, les boîtes de vitesse, surveiller la consommation d'essence. Les voitures sont aujourd'hui figées. Nous, on les réglait jusque sur la grille de départ ».
« Sur le plan de l'intérêt, j'ai vécu l'âge d'or. Mais il y avait des accidents, des morts. Les pilotes d'aujourd'hui connaissent l'âge d'or de la sécurité, » de conclure celui qui a gagné la bagatelle de 51 Grands Prix au cours de sa carrière.
photo:WRI2
Quadruple champion du monde de Formule 1, le Français Alain Prost, a affirmé que le monde de la F1 ne devait pas paniquer en ces temps difficiles.
L'ancien propriétaire de l'écurie Prost Grand Prix a aussi déclaré à l'agence de presse AP être heureux d'être aujourd'hui un spectateur et non pas un acteur de la F1.
« Il ne faut pas paniquer. Il y a une logique économique. Je préfère des gens qui disent 'on réduit' plutôt qu'on arrête'. À part Honda, il n'y a pas panique à bord », a déclaré Prost.
Et il ajoute ensuite : « En F1, il y a le même problème pour tous: continuer avec des budgets réduits. Les constructeurs et les écuries étaient allés trop loin. Je n'avais jamais connu la F1 avec une telle débauche de moyens comme ces dix dernières années ».
Prost, âgé de 53 et qui court en Trophée Andros de course sur glace, affirme qu'un certain « âge d'or » de la F1 est désormais révolu.
« Il y a moins de dépassements et beaucoup plus de stratégie. Tout se passe plus dans les stands. Les pilotes pensent seulement à la vitesse. Nous, il fallait préserver les freins, les boîtes de vitesse, surveiller la consommation d'essence. Les voitures sont aujourd'hui figées. Nous, on les réglait jusque sur la grille de départ ».
« Sur le plan de l'intérêt, j'ai vécu l'âge d'or. Mais il y avait des accidents, des morts. Les pilotes d'aujourd'hui connaissent l'âge d'or de la sécurité, » de conclure celui qui a gagné la bagatelle de 51 Grands Prix au cours de sa carrière.
photo:WRI2