D'après GMM
Fernando Alonso a plaidé l'ignorance lorsqu'interrogé jeudi sur le début d'une controverse le concernant entre son coéquipier et la presse espagnole.
Le pilote brésilien a été cité cette semaine disant qu’Alonso devrait faire plus d’efforts pour tenter de s’intégrer à l’équipe italienne. Massa aurait également déclaré qu’Alonso n’était plus le pilote le plus talentueux du plateau depuis le retour de Schumacher.
Ces remarques ont poussé la presse espagnole à une petite revanche personnelle, titrant même « Pourquoi ne la fermes-tu pas? » (Por que no te callas?) une édition de cette semaine de El Mundo Deportivo.
Le quotidien ne s’est pas gêné pour exprimer son mécontentement de voir Massa critiquer ainsi son nouveau coéquipier, soulignant que c’était « probablement par peur de redevenir le numéro deux de l’équipe. »
Questionné au sujet de la quasi-controverse, Alonso n’a pas cherché à faire de vagues. « Je ne sais même pas de quoi vous êtes en train de me parler », s’est exclamé l’Espagnol à Jerez jeudi.
« Imaginez s’il fallait qu’on commence à se préoccuper de quasi-controverse dans notre équipe! Ferrari est comme une famille, je me suis tout de suite senti apprécié et soutenu et j’ai reçu un accueil des plus chaleureux. Ne vous en faites pas pour moi, c’est comme si j’étais à la maison », a-t-il insisté.
Fernando Alonso a plaidé l'ignorance lorsqu'interrogé jeudi sur le début d'une controverse le concernant entre son coéquipier et la presse espagnole.
Le pilote brésilien a été cité cette semaine disant qu’Alonso devrait faire plus d’efforts pour tenter de s’intégrer à l’équipe italienne. Massa aurait également déclaré qu’Alonso n’était plus le pilote le plus talentueux du plateau depuis le retour de Schumacher.
Ces remarques ont poussé la presse espagnole à une petite revanche personnelle, titrant même « Pourquoi ne la fermes-tu pas? » (Por que no te callas?) une édition de cette semaine de El Mundo Deportivo.
Le quotidien ne s’est pas gêné pour exprimer son mécontentement de voir Massa critiquer ainsi son nouveau coéquipier, soulignant que c’était « probablement par peur de redevenir le numéro deux de l’équipe. »
Questionné au sujet de la quasi-controverse, Alonso n’a pas cherché à faire de vagues. « Je ne sais même pas de quoi vous êtes en train de me parler », s’est exclamé l’Espagnol à Jerez jeudi.
« Imaginez s’il fallait qu’on commence à se préoccuper de quasi-controverse dans notre équipe! Ferrari est comme une famille, je me suis tout de suite senti apprécié et soutenu et j’ai reçu un accueil des plus chaleureux. Ne vous en faites pas pour moi, c’est comme si j’étais à la maison », a-t-il insisté.