Sebastian Vettel ne tarissait pas d’éloges envers la monoplace Red Bull qu’il a conduite à la victoire du Grand Prix de Bahreïn, ce dimanche.
Vettel s’élançait depuis le troisième rang, mais occupait déjà la première place au troisième tour. Au moment de son troisième et dernier arrêt, il comptait près de 30 secondes d’avance sur son plus proche poursuivant.
« Une course parfaite, du début à la fin », jubilait le vainqueur.
« La voiture était fantastique et semblait s’améliorer de tour en tour. Merci, un gros merci à l’équipe. »
Vettel a révélé que la gestion de ses pneus, une faiblesse de la RB9 jusqu’à présent, a joué un grand rôle dans sa 28e victoire. Un départ parfait aussi était crucial.
« Je devais prendre les devants dès le début », insiste l’Allemand.
« Sans quoi, je ne pouvais pas bien exploiter le potentiel de la voiture. »
Vettel s’élançait depuis le troisième rang, mais occupait déjà la première place au troisième tour. Au moment de son troisième et dernier arrêt, il comptait près de 30 secondes d’avance sur son plus proche poursuivant.
« Une course parfaite, du début à la fin », jubilait le vainqueur.
« La voiture était fantastique et semblait s’améliorer de tour en tour. Merci, un gros merci à l’équipe. »
Vettel a révélé que la gestion de ses pneus, une faiblesse de la RB9 jusqu’à présent, a joué un grand rôle dans sa 28e victoire. Un départ parfait aussi était crucial.
« Je devais prendre les devants dès le début », insiste l’Allemand.
« Sans quoi, je ne pouvais pas bien exploiter le potentiel de la voiture. »