D'après GMM
Au moins deux des rivaux de Lewis Hamilton feraient mieux que lui dans la même voiture. C'est du moins ce que pense le dirigeant de la Formule 1, Bernie Ecclestone.
L'homme de 77 ans a en effet déclaré que Fernando Alonso, entre autres, « montrerait sans aucun doute la porte à Hamilton s'il était encore au volant d'une McLaren cette saison ».
Bernie a déclaré sympathiser énormément avec l'Espagnol qui effectue un dur retour chez Renault, l'équipe avec laquelle il a gagné deux titres mondiaux.
« Je ne lui ai jamais demandé - et je le ferai sûrement un jour - si on lui avait dit qu'il serait le pilote #1 chez McLaren. Parce que s'il ne l'a pas demandé et qu'il ne lui a pas été dit qu'il le serait, il a dû assumer que ce serait le cas. »
« Il avait pour coéquipier un pilote qui n'avait jamais fait de Formule 1. Il a donc forcément dû penser qu'il serait #1! Pourquoi en aurait-il été autrement, de toute façon? »
« C'est ce qui a causé le problème, je crois. Le problème s'est révélé lorsqu'Alonso a découvert que, même s'il aurait dû être #1 selon toute logique, il ne l'était et ne le serait pas au sein de cette équipe », a ajouté Ecclestone.
Le chef dirigeant de la F1 a aussi placé Robert Kubica - qui a gagné sa première course au Grand Prix de Montréal il y a maintenant plus d'une semaine - très haut dans son estime.
« Je verrais Kubica chez McLaren ou chez Ferrari et je placerais certainement mon argent sur le fait qu'il surclasserait Hamilton », a conclu le magnat de la Formule 1, bien connu pour animer sans cesse les controverses.
Au moins deux des rivaux de Lewis Hamilton feraient mieux que lui dans la même voiture. C'est du moins ce que pense le dirigeant de la Formule 1, Bernie Ecclestone.
L'homme de 77 ans a en effet déclaré que Fernando Alonso, entre autres, « montrerait sans aucun doute la porte à Hamilton s'il était encore au volant d'une McLaren cette saison ».
Bernie a déclaré sympathiser énormément avec l'Espagnol qui effectue un dur retour chez Renault, l'équipe avec laquelle il a gagné deux titres mondiaux.
« Je ne lui ai jamais demandé - et je le ferai sûrement un jour - si on lui avait dit qu'il serait le pilote #1 chez McLaren. Parce que s'il ne l'a pas demandé et qu'il ne lui a pas été dit qu'il le serait, il a dû assumer que ce serait le cas. »
« Il avait pour coéquipier un pilote qui n'avait jamais fait de Formule 1. Il a donc forcément dû penser qu'il serait #1! Pourquoi en aurait-il été autrement, de toute façon? »
« C'est ce qui a causé le problème, je crois. Le problème s'est révélé lorsqu'Alonso a découvert que, même s'il aurait dû être #1 selon toute logique, il ne l'était et ne le serait pas au sein de cette équipe », a ajouté Ecclestone.
Le chef dirigeant de la F1 a aussi placé Robert Kubica - qui a gagné sa première course au Grand Prix de Montréal il y a maintenant plus d'une semaine - très haut dans son estime.
« Je verrais Kubica chez McLaren ou chez Ferrari et je placerais certainement mon argent sur le fait qu'il surclasserait Hamilton », a conclu le magnat de la Formule 1, bien connu pour animer sans cesse les controverses.