D'après GMM
Fernando Alonso minimise les suggestions que l'interdiction des ravitaillements en 2010 va obliger les pilotes à changer leurs styles de pilotage.
Les voitures devront embarquer la quantité d'essence nécessaire pour couvrir toute la distance de la course, ainsi le poids des monoplaces sera radicalement différent entre le début et la fin du grand prix.
Beaucoup suggèrent que les pilotes devront alors adapter leur pilotage et porter plus d'attention à gérer la consommation d'essence et les pneus.
Lors d'un événement pour la banque Santander, le double-champion du monde 2005-2006 déclare au journal espagnol Marca : "Je ne crois pas que ce (l'interdiction des ravitaillements) sera décisif ou que ça changera vraiment les courses."
Fernando Alonso reconnaît cependant que les pneus seront très sollicités lorsque la voiture sera pleine d'essence et le poids élevé.
"La chose importante sera de vérifier les pneus après les 10 ou 15 premiers tours, c'est le premier indicateur. C'est justement pour ça que je ne crois pas que les styles de pilotage vont vraiment changer," ajoute le pilote Ferrari.
Fernando Alonso minimise les suggestions que l'interdiction des ravitaillements en 2010 va obliger les pilotes à changer leurs styles de pilotage.
Les voitures devront embarquer la quantité d'essence nécessaire pour couvrir toute la distance de la course, ainsi le poids des monoplaces sera radicalement différent entre le début et la fin du grand prix.
Beaucoup suggèrent que les pilotes devront alors adapter leur pilotage et porter plus d'attention à gérer la consommation d'essence et les pneus.
Lors d'un événement pour la banque Santander, le double-champion du monde 2005-2006 déclare au journal espagnol Marca : "Je ne crois pas que ce (l'interdiction des ravitaillements) sera décisif ou que ça changera vraiment les courses."
Fernando Alonso reconnaît cependant que les pneus seront très sollicités lorsque la voiture sera pleine d'essence et le poids élevé.
"La chose importante sera de vérifier les pneus après les 10 ou 15 premiers tours, c'est le premier indicateur. C'est justement pour ça que je ne crois pas que les styles de pilotage vont vraiment changer," ajoute le pilote Ferrari.