La prestigieuse Scuderia Ferrari, la seule écurie à avoir participé à tous les Championnats du monde de Formule 1 depuis 1950, a lancé une attaque sévère contre les nouvelles écuries de Formule 1 et contre la FIA qui leur a fait miroiter une F1 à bas coûts.
Dans un texte affiché sur le site officiel de Ferrari, appelé « The Horse Whisperer », Ferrari s’en prend à la vision de la F1 à bas prix, chère à l’ancien président de la FIA, Max Mosley.
Il y a de cela plusieurs mois, Ferrari s’en était déjà pris à cette vision de la F1, qualifiant ces nouvelles écuries sans nom et sans histoire de « Formule GP3 ».
Faisant référence à deux nouvelles écuries qui viennent d’effectuer leurs débuts en piste, Virgin et Lotus, Ferrari précise « qu’elles n’ont accompli que quelques centaines de kilomètres, et à un rythme très lent ».
Quant à l’écurie Campos, elle aurait bénéficié de « la soudaine injection de capitaux provenant d’un resplendissant chevalier blanc, bien habitué à ce genre de sauvetage. Toutefois, un tel excès de générosité peut placer les bénéficiaires en position de simple et loyal vassal… » Le chevalier blanc étant évidemment Bernie Ecclestone…
Parlant de USF1, Ferrari indique que cette écurie « est allée se cacher à Charlotte en Caroline du Nord » et « qu’incroyablement, elle pousse l’audace à affirmer que tout va très bien sous le ciel bleu des États-Unis ».
Afin de joindre les deux dirigeants de l’écurie, Peter Windsor et Ken Anderson, Ferrari suggère de faire appel aux recherches de personnes disparues.
La dernière attaque est réservée à Stefan GP. « Ce sont des vautours serbes qui ont ramassé les ossements de Toyota sur son lit de mort ».
Faisant référence à Mike Coughlan, ancien concepteur de McLaren trouvé coupable dans l’affaire d’espionnage et maintenant membre de l’écurie Stefan GP, Ferrari dit trouver en lui « les effluves des scandales du passé ».
Toujours à propos de Stefan GP, Ferrari déclare « ils cherchent à remplacer la première équipe qui ne pourra participer au championnat, probablement avec l’aide financière du fameux chevalier blanc mentionné auparavant ».
« Voici dont l’héritage de la guerre sainte menée par l’ancien président de la FIA. Entre temps, nous avons perdu deux constructeurs, BMW et Toyota, alors qu’il ne reste de Renault que le nom. Tout cela en valait-il la peine? » de conclure le texte de Ferrari.
photo:Ferrari
Dans un texte affiché sur le site officiel de Ferrari, appelé « The Horse Whisperer », Ferrari s’en prend à la vision de la F1 à bas prix, chère à l’ancien président de la FIA, Max Mosley.
Il y a de cela plusieurs mois, Ferrari s’en était déjà pris à cette vision de la F1, qualifiant ces nouvelles écuries sans nom et sans histoire de « Formule GP3 ».
Faisant référence à deux nouvelles écuries qui viennent d’effectuer leurs débuts en piste, Virgin et Lotus, Ferrari précise « qu’elles n’ont accompli que quelques centaines de kilomètres, et à un rythme très lent ».
Quant à l’écurie Campos, elle aurait bénéficié de « la soudaine injection de capitaux provenant d’un resplendissant chevalier blanc, bien habitué à ce genre de sauvetage. Toutefois, un tel excès de générosité peut placer les bénéficiaires en position de simple et loyal vassal… » Le chevalier blanc étant évidemment Bernie Ecclestone…
Parlant de USF1, Ferrari indique que cette écurie « est allée se cacher à Charlotte en Caroline du Nord » et « qu’incroyablement, elle pousse l’audace à affirmer que tout va très bien sous le ciel bleu des États-Unis ».
Afin de joindre les deux dirigeants de l’écurie, Peter Windsor et Ken Anderson, Ferrari suggère de faire appel aux recherches de personnes disparues.
La dernière attaque est réservée à Stefan GP. « Ce sont des vautours serbes qui ont ramassé les ossements de Toyota sur son lit de mort ».
Faisant référence à Mike Coughlan, ancien concepteur de McLaren trouvé coupable dans l’affaire d’espionnage et maintenant membre de l’écurie Stefan GP, Ferrari dit trouver en lui « les effluves des scandales du passé ».
Toujours à propos de Stefan GP, Ferrari déclare « ils cherchent à remplacer la première équipe qui ne pourra participer au championnat, probablement avec l’aide financière du fameux chevalier blanc mentionné auparavant ».
« Voici dont l’héritage de la guerre sainte menée par l’ancien président de la FIA. Entre temps, nous avons perdu deux constructeurs, BMW et Toyota, alors qu’il ne reste de Renault que le nom. Tout cela en valait-il la peine? » de conclure le texte de Ferrari.
photo:Ferrari