D'après GMM
Après avoir remplacé Jarno Trulli au Nürburgring, Karun Chandhok pense pouvoir bénéficier d'autres opportunités prochainement au volant de la Team Lotus.
Alors que le pilote italien va reprendre sa monoplace en Hongrie, beaucoup de rumeurs indiquent que le pilote de réserve indien a fait partie d'un accord entre son commanditaire et le propriétaire de l'équipe, Tony Fernandes.
Karun Chandhok déclare à Reuters : « Je crois que je vais avoir d'autres chances, car Tony semble satisfait de mon travail et les ingénieurs aussi semblent contents du travail que j'ai effectué ».
Alors que Bernie Ecclestone pousse pour voir un pilote indien sur la grille lors du prochain premier grand prix d'Inde en octobre, il faut rappeler que Karun Chandok est le fils de Vicky Chandok, président de la fédération indienne sur sport automobile.
Les deux dirigeants ont eu une longue conversation cette fin de semaine au Nürburgring avec Tony Fernandes.
Karun Chanhok révèle que les trois hommes d'affaires « lui ont clairement dit de partir et de les laisser discuter, Tony, mon père et lui (Bernie Ecclestone). Les derniers mots de Ecclestone étaient quelque chose comme, 'Va travailler et laisse nous faire' ».
Après avoir remplacé Jarno Trulli au Nürburgring, Karun Chandhok pense pouvoir bénéficier d'autres opportunités prochainement au volant de la Team Lotus.
Alors que le pilote italien va reprendre sa monoplace en Hongrie, beaucoup de rumeurs indiquent que le pilote de réserve indien a fait partie d'un accord entre son commanditaire et le propriétaire de l'équipe, Tony Fernandes.
Karun Chandhok déclare à Reuters : « Je crois que je vais avoir d'autres chances, car Tony semble satisfait de mon travail et les ingénieurs aussi semblent contents du travail que j'ai effectué ».
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| Karun Chandhok, Team Lotus (Photo: WRi2) |
Alors que Bernie Ecclestone pousse pour voir un pilote indien sur la grille lors du prochain premier grand prix d'Inde en octobre, il faut rappeler que Karun Chandok est le fils de Vicky Chandok, président de la fédération indienne sur sport automobile.
Les deux dirigeants ont eu une longue conversation cette fin de semaine au Nürburgring avec Tony Fernandes.
Karun Chanhok révèle que les trois hommes d'affaires « lui ont clairement dit de partir et de les laisser discuter, Tony, mon père et lui (Bernie Ecclestone). Les derniers mots de Ecclestone étaient quelque chose comme, 'Va travailler et laisse nous faire' ».