D'après GMM
Le centre média a sarcastiquement applaudi le premier tour lancé de la voiture Hispania Racing samedi.
Le quotidien allemand Bild affirme que tout le paddock « se moque d’Hispania » dont la F111 n’a pas réussi à se qualifier pour la course de dimanche, en Australie – les commissaires refusant d’exempter l’équipe du respect de la règle du 107 pourcent.
Vitantonio Liuzzi a déclaré à l’O Estado de Sao Paulo que des pièces de la voiture étaient arrivées au Albert Park « à toutes les heures » du week-end.
L’Italien refuse toutefois les railleries. « Ça dépend toujours de votre point de vue », a-t-il expliqué. « Si vous nous comparez à Red Bull ou Ferrari, qui disposent d’un budget de 400 millions par année, notre situation est risible.
« Mais si vous considérez que notre équipe n’a pratiquement pas dormi dans les derniers temps pour préparer la voiture, c’est quelque chose de positif dont on peut être fier », a ajouté celui qui aura du mal à convaincre bien des gens ce week-end.
Un autre membre de l’équipe a plutôt affirmé que les ennuis étaient financiers. « Quand on a pu payer les manufacturiers, les pièces ont commencé à arriver », aurait-il affirmé.
Les rumeurs disent également que l’équipe a dû trouver un moyen d’installer l’aileron avant de l’an dernier sur leur nouvelle monoplace puisque l’aileron 2011 n’a pas réussi les tests d’impact.
Certaines pièces ont par ailleurs dû être transportées à Melbourne dans les bagages des membres de l’équipe, dont Colin Kolles. Ce dernier s’est vu refuser le transport de son bagage par la compagnie aérienne puisqu’il était « trop lourd ».
Le commentateur Christian Danner, ancien pilote de F1, en a transporté quelques unes pour Kolles. « J’ai eu un peu pitié », a-t-il dit au Bild.
Tout le monde ne prend pas l’équipe en pitié toutefois. Le correspondant AS Raul Romojaro a écrit : « Ce n’est pas parce que je suis capable de faire du vélo avec mes amis le dimanche que je me considère apte à disputer le prochain Tour du Contador. Je serais ridiculisé pour ne pas avoir saisi la magnitude du défi ».
Le centre média a sarcastiquement applaudi le premier tour lancé de la voiture Hispania Racing samedi.
Le quotidien allemand Bild affirme que tout le paddock « se moque d’Hispania » dont la F111 n’a pas réussi à se qualifier pour la course de dimanche, en Australie – les commissaires refusant d’exempter l’équipe du respect de la règle du 107 pourcent.
Vitantonio Liuzzi a déclaré à l’O Estado de Sao Paulo que des pièces de la voiture étaient arrivées au Albert Park « à toutes les heures » du week-end.
L’Italien refuse toutefois les railleries. « Ça dépend toujours de votre point de vue », a-t-il expliqué. « Si vous nous comparez à Red Bull ou Ferrari, qui disposent d’un budget de 400 millions par année, notre situation est risible.
« Mais si vous considérez que notre équipe n’a pratiquement pas dormi dans les derniers temps pour préparer la voiture, c’est quelque chose de positif dont on peut être fier », a ajouté celui qui aura du mal à convaincre bien des gens ce week-end.
Un autre membre de l’équipe a plutôt affirmé que les ennuis étaient financiers. « Quand on a pu payer les manufacturiers, les pièces ont commencé à arriver », aurait-il affirmé.
Les rumeurs disent également que l’équipe a dû trouver un moyen d’installer l’aileron avant de l’an dernier sur leur nouvelle monoplace puisque l’aileron 2011 n’a pas réussi les tests d’impact.
Certaines pièces ont par ailleurs dû être transportées à Melbourne dans les bagages des membres de l’équipe, dont Colin Kolles. Ce dernier s’est vu refuser le transport de son bagage par la compagnie aérienne puisqu’il était « trop lourd ».
Le commentateur Christian Danner, ancien pilote de F1, en a transporté quelques unes pour Kolles. « J’ai eu un peu pitié », a-t-il dit au Bild.
Tout le monde ne prend pas l’équipe en pitié toutefois. Le correspondant AS Raul Romojaro a écrit : « Ce n’est pas parce que je suis capable de faire du vélo avec mes amis le dimanche que je me considère apte à disputer le prochain Tour du Contador. Je serais ridiculisé pour ne pas avoir saisi la magnitude du défi ».