D'après GMM
Pour le nouveau propriétaire de l'équipe Renault Gerard Lopez, la Formule Un coûte bien davantage qu'il le pensait.
Le dirigeant d'une firme d'investissement luxembourgeoise, Genii Capital, avait repris l'équipe Renault en fin de saison alors que celle-ci était en pleine tourmente de l'affaire de Singapour et que le constructeur Renault subissait la crise automobile.
Mais tandis que l'équipe affiche de bien meilleures performances qu'elle ne l'espérait cette saison, elle souffre de problèmes de trésorerie, allant demander même à Bernie Ecclestone des avances sur les revenus commerciaux 2010.
Dans le magazine italien Autosprint, Gerard Lopez déclare : "D'un point de vue commercial, tout va bien. Nous sommes en phase avec nos objectifs. Mais la Formule Un coûte bien plus que nous le pensions."
"Nous savions que notre voiture n'était pas née aussi rapide que nous le voulions, et nous avons dû injecter des resssources pour la rendre compétitive. Puis il y a toute la partie développement, qui est bien plus grosse que prévue, ce qui veut dire des coûts additionnels. Mais en ce qui concerne 2011, nous sommes très enthousiastes," ajoute Gerard Lopez sur auto.it.
Pour le nouveau propriétaire de l'équipe Renault Gerard Lopez, la Formule Un coûte bien davantage qu'il le pensait.
Le dirigeant d'une firme d'investissement luxembourgeoise, Genii Capital, avait repris l'équipe Renault en fin de saison alors que celle-ci était en pleine tourmente de l'affaire de Singapour et que le constructeur Renault subissait la crise automobile.
Mais tandis que l'équipe affiche de bien meilleures performances qu'elle ne l'espérait cette saison, elle souffre de problèmes de trésorerie, allant demander même à Bernie Ecclestone des avances sur les revenus commerciaux 2010.
Dans le magazine italien Autosprint, Gerard Lopez déclare : "D'un point de vue commercial, tout va bien. Nous sommes en phase avec nos objectifs. Mais la Formule Un coûte bien plus que nous le pensions."
"Nous savions que notre voiture n'était pas née aussi rapide que nous le voulions, et nous avons dû injecter des resssources pour la rendre compétitive. Puis il y a toute la partie développement, qui est bien plus grosse que prévue, ce qui veut dire des coûts additionnels. Mais en ce qui concerne 2011, nous sommes très enthousiastes," ajoute Gerard Lopez sur auto.it.