D'après GMM
Selon l'ancien pilote de Formule 1 Marc Surer, le départ d'ING de la F1 pave la voie à la disparition de toutes les banques du monde des Grands Prix.
Le Crédit Suisse, qui commanditait l'écurie BMW-Sauber se retire aussi de la F1, et des rumeurs circulent à propos de la Royal Bank of Scotland (RBS) qui, prise dans la tourmente des marchés financiers, songe également à quitter la F1.
Marc Surer, commentateur à la télé, affirme que « toutes les banques disparaîtront du monde de la F1 dans quelque temps. »
« À cause de la crise financière mondiale, le profil des banques ne correspond plus à l'image de la F1, » a-t-il déclaré à l'agence de presse allemande SID.
On estime qu'IGN investissait annuellement environ 50 millions d'euros en F1, et représentait la moitié du budget de commandite de Renault.
La semaine passée, John Mann, membre du parlement britannique, a qualifié de « d'insouciant » l'implication de RBS avec l'écurie Williams. Mann a appuyé ses propos en donnant l'exemple de RBS qui emploie, à coups de millions de dollars, des vedettes comme Sir Jackie Stewart pour distraire les invités durant les Grands Prix. « Ceci illustre bien un comportement irresponsable causé par l'abondance d'argent ».
« La fête est terminée. Mais comme la F1 a survécu au départ des cigarettiers, elle survivra aussi à celui des banques. La roue continuera à tourner, » a ajouté Surer.
photo:Williams
Selon l'ancien pilote de Formule 1 Marc Surer, le départ d'ING de la F1 pave la voie à la disparition de toutes les banques du monde des Grands Prix.
Le Crédit Suisse, qui commanditait l'écurie BMW-Sauber se retire aussi de la F1, et des rumeurs circulent à propos de la Royal Bank of Scotland (RBS) qui, prise dans la tourmente des marchés financiers, songe également à quitter la F1.
Marc Surer, commentateur à la télé, affirme que « toutes les banques disparaîtront du monde de la F1 dans quelque temps. »
« À cause de la crise financière mondiale, le profil des banques ne correspond plus à l'image de la F1, » a-t-il déclaré à l'agence de presse allemande SID.
On estime qu'IGN investissait annuellement environ 50 millions d'euros en F1, et représentait la moitié du budget de commandite de Renault.
La semaine passée, John Mann, membre du parlement britannique, a qualifié de « d'insouciant » l'implication de RBS avec l'écurie Williams. Mann a appuyé ses propos en donnant l'exemple de RBS qui emploie, à coups de millions de dollars, des vedettes comme Sir Jackie Stewart pour distraire les invités durant les Grands Prix. « Ceci illustre bien un comportement irresponsable causé par l'abondance d'argent ».
« La fête est terminée. Mais comme la F1 a survécu au départ des cigarettiers, elle survivra aussi à celui des banques. La roue continuera à tourner, » a ajouté Surer.
photo:Williams