Mark Webber rapporte dans sa chronique sur le site de BBC, que ses mauvais départs – récurrents cette saison – seraient reliés à la procédure de départ compliquée et aux pneus Pirelli.
« La procédure du départ est très complexe – autant pour les pilotes que pour les ingénieurs, explique-t-il. Je ne peux pas en dire trop, mais nous devons, entre autres choses, moduler l'embrayage, au moyen de deux palettes distinctes situées sur le volant. »
Cela peut paraître encore relativement simple, mais Pirelli a introduit une variable importante cette année : les pneus.
« La surprise est la seule constante depuis le début de la saison, remarque Webber. Chaque gomme se comporte différemment sous accélération, et les gommes que nous utilisons ne sont pas les mêmes d'un Grand Prix à l'autre. »
Selon le pilote Red Bull, c'est ce qui explique qu'à l'occasion, un pilote peut ou s'emmêler les pinceaux, ou faire mordre la poussière aux autres.
« Quand tous les facteurs sont réunis, que la voiture décolle vraiment bien, on peut en mettre plein la vue aux autres, comme Fernando [Alonso] en Italie par exemple. »
« La procédure du départ est très complexe – autant pour les pilotes que pour les ingénieurs, explique-t-il. Je ne peux pas en dire trop, mais nous devons, entre autres choses, moduler l'embrayage, au moyen de deux palettes distinctes situées sur le volant. »
Cela peut paraître encore relativement simple, mais Pirelli a introduit une variable importante cette année : les pneus.
« La surprise est la seule constante depuis le début de la saison, remarque Webber. Chaque gomme se comporte différemment sous accélération, et les gommes que nous utilisons ne sont pas les mêmes d'un Grand Prix à l'autre. »
Selon le pilote Red Bull, c'est ce qui explique qu'à l'occasion, un pilote peut ou s'emmêler les pinceaux, ou faire mordre la poussière aux autres.
« Quand tous les facteurs sont réunis, que la voiture décolle vraiment bien, on peut en mettre plein la vue aux autres, comme Fernando [Alonso] en Italie par exemple. »