D’après GMM
Felipe Massa recommande à son ancien coéquipier Fernando Alonso de résister à la tentation de retourner chez McLaren.
Pourtant, le Brésilien reconnaît que la Scuderia n’est pas peut-être pas l’équipe idéale non plus.
Après Stefano Domenicali et Luca Marmorini, c’est le grand patron Luca di Montezemolo qui a perdu son emploi. On ne peut donc plus parler de léthargie chez Ferrari, mais de véritable crise.
« La situation actuelle de Ferrari ne m’étonne pas », révèle Massa, qui a porté les couleurs de la Scuderia pendant plusieurs saisons, dans les pages du quotidien AS.
« Je ne leur souhaite que des bonnes choses », ajoute-t-il, évitant ainsi de commenter la situation.
Pense-t-il qu’il est temps pour Alonso de quitter le navire ?
« Non », répond celui qui rayonne depuis qu’il a cédé sa place chez Ferrari à Kimi Räikkönen pour se joindre à l’écurie Williams.
« Il n’est pas moi. Si j’étais lui, je n’irais pas chez McLaren. Mercedes, oui. Red Bull, je ne sais pas.
« Il doit seulement aller vers une équipe qui va lui permettre de gagner. McLaren et Honda vont gagner d’après moi, mais pas tout de suite. »
Par ailleurs, Massa n’est pas surpris que Räikkönen, aussi son ancien coéquipier, éprouve tant de difficultés aux côtés d’Alonso.
« Pour être au niveau d’Alonso, il faut être parfait », explique-t-il.
Felipe Massa recommande à son ancien coéquipier Fernando Alonso de résister à la tentation de retourner chez McLaren.
Pourtant, le Brésilien reconnaît que la Scuderia n’est pas peut-être pas l’équipe idéale non plus.
Après Stefano Domenicali et Luca Marmorini, c’est le grand patron Luca di Montezemolo qui a perdu son emploi. On ne peut donc plus parler de léthargie chez Ferrari, mais de véritable crise.
« La situation actuelle de Ferrari ne m’étonne pas », révèle Massa, qui a porté les couleurs de la Scuderia pendant plusieurs saisons, dans les pages du quotidien AS.
« Je ne leur souhaite que des bonnes choses », ajoute-t-il, évitant ainsi de commenter la situation.
Pense-t-il qu’il est temps pour Alonso de quitter le navire ?
Fernando Alonso, Ferrari F-14T (Photo: WRI2) |
« Non », répond celui qui rayonne depuis qu’il a cédé sa place chez Ferrari à Kimi Räikkönen pour se joindre à l’écurie Williams.
« Il n’est pas moi. Si j’étais lui, je n’irais pas chez McLaren. Mercedes, oui. Red Bull, je ne sais pas.
« Il doit seulement aller vers une équipe qui va lui permettre de gagner. McLaren et Honda vont gagner d’après moi, mais pas tout de suite. »
Par ailleurs, Massa n’est pas surpris que Räikkönen, aussi son ancien coéquipier, éprouve tant de difficultés aux côtés d’Alonso.
« Pour être au niveau d’Alonso, il faut être parfait », explique-t-il.