Selon GMM
Si le règlement venait à changer, Michelin envisagerait un retour en Formule 1, selon Nick Shorrock, directeur de la compétition pour la marque française.
L'usine de Clermont-Ferrand avait fait ses débuts dans la discipline reine en 2001, s'engageant du même coup dans une lutte avec Bridgestone. Cinq ans plus tard, Michelin avait dû se retirer lorsque le Président de la FIA à l'époque, Max Mosley, avait forcé le départ d'un manufacturier.
« Nous suivons avec intérêt l'évolution du règlement en Formule 1 », aurait affirmé Shorrock, selon AGI.
« Nous espérons le retour de la compétition entre les manufacturiers de pneus. Il n'y a que ça qui puisse améliorer le spectacle. Si le règlement change, nous envisagerons sérieusement un retour. »
Malheureusement pour Michelin et Shorrock, Bernie Ecclestone, semble heureux du travail effectué par Pirelli, et de l'idée du pneu qui perd rapidement son adhérence.
« Les gens veulent voir du spectacle », rappelait Ecclestone, et pour le moment ils en ont pour leur argent. »
L'octogénaire a aussi remarqué qu'un de ses pilotes favoris, Sebastian Vettel, était sur le point de remporter le championnat du monde des pilotes.
« Mais le vrai champion, c'est Pirelli », a-t-il rappelé.
Si le règlement venait à changer, Michelin envisagerait un retour en Formule 1, selon Nick Shorrock, directeur de la compétition pour la marque française.
L'usine de Clermont-Ferrand avait fait ses débuts dans la discipline reine en 2001, s'engageant du même coup dans une lutte avec Bridgestone. Cinq ans plus tard, Michelin avait dû se retirer lorsque le Président de la FIA à l'époque, Max Mosley, avait forcé le départ d'un manufacturier.
« Nous suivons avec intérêt l'évolution du règlement en Formule 1 », aurait affirmé Shorrock, selon AGI.
« Nous espérons le retour de la compétition entre les manufacturiers de pneus. Il n'y a que ça qui puisse améliorer le spectacle. Si le règlement change, nous envisagerons sérieusement un retour. »
Malheureusement pour Michelin et Shorrock, Bernie Ecclestone, semble heureux du travail effectué par Pirelli, et de l'idée du pneu qui perd rapidement son adhérence.
« Les gens veulent voir du spectacle », rappelait Ecclestone, et pour le moment ils en ont pour leur argent. »
L'octogénaire a aussi remarqué qu'un de ses pilotes favoris, Sebastian Vettel, était sur le point de remporter le championnat du monde des pilotes.
« Mais le vrai champion, c'est Pirelli », a-t-il rappelé.