Après des mois d’essais, Pirelli a enfin effectué son retour en Formule 1 à l’occasion du premier Grand Prix de la saison disputée en Australie.
Les choses se sont bien déroulées à Melbourne alors que plusieurs croyaient qu’à cause de l’usure rapide des pneus, les pilotes allaient devoir effectuer trois, voire quatre arrêts. Ça n’a pas été le cas, mais Pirelli va affronter des conditions réellement extrêmes ce week-end en Malaisie.
Le circuit de Sepang est l’endroit le plus chaud et le plus humide de la saison, avec un mercure de 35 degrés et une humidité de 80%. La surface de la piste est aussi très abrasive.
Comme ce fut le cas en Australie, Pirelli apporte en Malaisie des pneus de gommes tendre et dure.
Il est toutefois quasiment certain que la pluie tombera à un moment ou à un autre durant le week-end, ce qui signifie que les pneus intermédiaires ou pluie feront leurs débuts officiels en compétition.
Au cours de deux séances d’essais libres du vendredi, Pirelli fournira aux écuries deux trains supplémentaires de pneus secs aux fins d’évaluation. Ce pneu est fait d’une gomme expérimentale dure qui pourrait être employée plus tard durant la saison. L’allocation des pneus pour le reste du week-end est toutefois inchangée.
« Nous avons toujours dit que nous devrions assister à deux ou trois changements de pneus en Australie. Mais en Malaisie, nous croyons que nous en verrons trois ou quatre, » de dire Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport.
C’est en 2004 qu’on a vu le plus grand nombre de changements de pneus avec 56, soit l’équivalent de 2,8 arrêts pour chaque pilote. En 2009, on a assisté à 50 arrêts en seulement 30 tours avant que la course ne soit stoppée au drapeau rouge.
Les choses se sont bien déroulées à Melbourne alors que plusieurs croyaient qu’à cause de l’usure rapide des pneus, les pilotes allaient devoir effectuer trois, voire quatre arrêts. Ça n’a pas été le cas, mais Pirelli va affronter des conditions réellement extrêmes ce week-end en Malaisie.
Le circuit de Sepang est l’endroit le plus chaud et le plus humide de la saison, avec un mercure de 35 degrés et une humidité de 80%. La surface de la piste est aussi très abrasive.
Adrian Sutil, Force India (Photo: WRI2) |
Comme ce fut le cas en Australie, Pirelli apporte en Malaisie des pneus de gommes tendre et dure.
Il est toutefois quasiment certain que la pluie tombera à un moment ou à un autre durant le week-end, ce qui signifie que les pneus intermédiaires ou pluie feront leurs débuts officiels en compétition.
Au cours de deux séances d’essais libres du vendredi, Pirelli fournira aux écuries deux trains supplémentaires de pneus secs aux fins d’évaluation. Ce pneu est fait d’une gomme expérimentale dure qui pourrait être employée plus tard durant la saison. L’allocation des pneus pour le reste du week-end est toutefois inchangée.
« Nous avons toujours dit que nous devrions assister à deux ou trois changements de pneus en Australie. Mais en Malaisie, nous croyons que nous en verrons trois ou quatre, » de dire Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport.
C’est en 2004 qu’on a vu le plus grand nombre de changements de pneus avec 56, soit l’équivalent de 2,8 arrêts pour chaque pilote. En 2009, on a assisté à 50 arrêts en seulement 30 tours avant que la course ne soit stoppée au drapeau rouge.