Vous êtes-vous parfois demandé comment on se sentait au volant d’une monoplace de Formule 1 ? Nous vous proposons aujourd’hui de prendre le volant de la Force India VJM03 à moteur Mercedes !
Le volant est entièrement fabriqué à la main, contient des centaines de composantes électroniques, est moulé de façon à épouser la main de chaque pilote, et coûte plus de… 40 000 $ à produire.
Les boutons sont colorés afin d’être facilement repérés et éviter les erreurs à plus de 320 km/h.
En général, le pilote modifie surtout les réglages du différentiel (entry, mid et exit), la répartition du freinage et l’angle des volets de l’aileron avant (wing). Au fur et à mesure que le réservoir d’essence se vide au fil des tours et que les pneus s’usent, le pilote modifie ces paramètres pour maintenir une bonne tenue de route.
En moyenne, les pilotes ajustent les réglages du différentiel à tous les cinq tours, mais certains boutons sont employés de virage en virage.
On peut changer la cartographie du moteur afin de bénéficier de plus de couple à la sortie de certains virages lents ou pour obtenir plus de frein moteur à l’entrée d’autres virages.
La répartition du freinage peut aussi être modifiée de virage en virage.
Le bouton « wing » change l’angle d’inclinaison des deux volets avant de six degrés, ce qui peut faciliter un dépassement lors d’un freinage.
Abaisser le régime maximal du moteur permet de le ménager en fin de course ou d’économiser du carburant durant le Grand Prix, si nécessaire.
Le volant est entièrement fabriqué à la main, contient des centaines de composantes électroniques, est moulé de façon à épouser la main de chaque pilote, et coûte plus de… 40 000 $ à produire.
Les boutons sont colorés afin d’être facilement repérés et éviter les erreurs à plus de 320 km/h.
 |
| Photo: WRI2 |
En général, le pilote modifie surtout les réglages du différentiel (entry, mid et exit), la répartition du freinage et l’angle des volets de l’aileron avant (wing). Au fur et à mesure que le réservoir d’essence se vide au fil des tours et que les pneus s’usent, le pilote modifie ces paramètres pour maintenir une bonne tenue de route.
En moyenne, les pilotes ajustent les réglages du différentiel à tous les cinq tours, mais certains boutons sont employés de virage en virage.
On peut changer la cartographie du moteur afin de bénéficier de plus de couple à la sortie de certains virages lents ou pour obtenir plus de frein moteur à l’entrée d’autres virages.
La répartition du freinage peut aussi être modifiée de virage en virage.
Le bouton « wing » change l’angle d’inclinaison des deux volets avant de six degrés, ce qui peut faciliter un dépassement lors d’un freinage.
Abaisser le régime maximal du moteur permet de le ménager en fin de course ou d’économiser du carburant durant le Grand Prix, si nécessaire.