D'après GMM
Toto Wolff révèle avoir eu « une grosse discussion » avec le grand chef de la F1 au sujet des réseaux sociaux sur internet.
Le président de Ferrari avait appelé à une réunion d'urgence le mois dernier, afin de parler de l'avenir de la Formule 1.
La perception commune dans le paddock est que Bernie Ecclestone résiste à l'ère internet, alors que Luca di Montezemolo est persuadé que Google et Apple devraient se lier à la catégorie.
Il se dit également que les représentants des « nouveaux médias » et « réseaux sociaux » pourraient avoir quelques conseils à donner.
Fait rare en F1 pour être souligné, l'équipe Mercedes est entièrement d'accord.
« J'ai eu une discussion animée assez longue avec Bernie à ce sujet lors d’une réunion. Nous avons perdu 30 % d’audience en Italie, une partie en Allemagne, tandis que curieusement, nous constatons une croissance en Angleterre », révèle Toto Wolff dans le Guardian.
« Vendre les droits à une TV payante fait baisser l’audience, c’est normal. Mais en parallèle il y a eu une explosion des activités en ligne. Bernie est assez fermé. Selon lui ces gens ne paient pas et la moitié des profits viennent des télés. Certes le web ne fonctionne pas encore de façon à ce qu’il puisse être monétisé mais je peux au moins dire à mes sponsors que leur visibilité augmente grâce au web même si les audiences TV baissent. Même les grands acteurs comme Twitter n’ont pas encore trouvé de façon de monétiser leur support, mais c’est juste une question de temps avant que cela arrive », d'ajouter le dirigeant de Mercedes.
Le meneur au classement du championnat du monde approuve.
« Nous sommes là pour divertir les gens. Les réseaux sociaux sont des médias jeunes, passionnants et émergents, une excellente plateforme pour montrer aux fans de nouvelles perspectives de ce sport. Nous devrions donc y penser sérieusement », de déclarer Nico Rosberg dans Speed Week.
Toto Wolff révèle avoir eu « une grosse discussion » avec le grand chef de la F1 au sujet des réseaux sociaux sur internet.
Le président de Ferrari avait appelé à une réunion d'urgence le mois dernier, afin de parler de l'avenir de la Formule 1.
La perception commune dans le paddock est que Bernie Ecclestone résiste à l'ère internet, alors que Luca di Montezemolo est persuadé que Google et Apple devraient se lier à la catégorie.
Il se dit également que les représentants des « nouveaux médias » et « réseaux sociaux » pourraient avoir quelques conseils à donner.
Fait rare en F1 pour être souligné, l'équipe Mercedes est entièrement d'accord.
« J'ai eu une discussion animée assez longue avec Bernie à ce sujet lors d’une réunion. Nous avons perdu 30 % d’audience en Italie, une partie en Allemagne, tandis que curieusement, nous constatons une croissance en Angleterre », révèle Toto Wolff dans le Guardian.
« Vendre les droits à une TV payante fait baisser l’audience, c’est normal. Mais en parallèle il y a eu une explosion des activités en ligne. Bernie est assez fermé. Selon lui ces gens ne paient pas et la moitié des profits viennent des télés. Certes le web ne fonctionne pas encore de façon à ce qu’il puisse être monétisé mais je peux au moins dire à mes sponsors que leur visibilité augmente grâce au web même si les audiences TV baissent. Même les grands acteurs comme Twitter n’ont pas encore trouvé de façon de monétiser leur support, mais c’est juste une question de temps avant que cela arrive », d'ajouter le dirigeant de Mercedes.
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| Bernie Ecclestone et Toto Wolff. (Photo: WRi2) |
Le meneur au classement du championnat du monde approuve.
« Nous sommes là pour divertir les gens. Les réseaux sociaux sont des médias jeunes, passionnants et émergents, une excellente plateforme pour montrer aux fans de nouvelles perspectives de ce sport. Nous devrions donc y penser sérieusement », de déclarer Nico Rosberg dans Speed Week.