D'après GMM
Peter Sauber qualifie de catastrophe la condition actuelle de son équipe qui paie ses employés en francs suisses pendant que l'euro et le dollar américain versé par ses commanditaires deviennent de plus en plus faibles.
« C'est un désastre parce que ce n'est pas seulement les salaires, mais certains manufacturiers également que nous payons en francs », a déclaré le propriétaire de l'équipe.
Il faut dire que le franc suisse, contrairement à ses contre-parties, n'a pas été affaibli par la crise financière mondiale. C'est donc dire que Sauber doit débourser plus tout en recevant moins.
La situation financière du groupe Money Service, qui soutient l'équipe, est aussi à redouter puisque même Niki Lauda a mis fin à son partenariat avec la marque.
L'ancien pilote de F1 Alex Wurz faisait pour sa part dans l'humour : « C'est à se demander si la commission européenne n'a pas vendu l'été pour éponger le déficit grec », a-t-il dit à propos du temps peu clément des derniers grands prix.
Peter Sauber qualifie de catastrophe la condition actuelle de son équipe qui paie ses employés en francs suisses pendant que l'euro et le dollar américain versé par ses commanditaires deviennent de plus en plus faibles.
« C'est un désastre parce que ce n'est pas seulement les salaires, mais certains manufacturiers également que nous payons en francs », a déclaré le propriétaire de l'équipe.
Il faut dire que le franc suisse, contrairement à ses contre-parties, n'a pas été affaibli par la crise financière mondiale. C'est donc dire que Sauber doit débourser plus tout en recevant moins.
La situation financière du groupe Money Service, qui soutient l'équipe, est aussi à redouter puisque même Niki Lauda a mis fin à son partenariat avec la marque.
L'ancien pilote de F1 Alex Wurz faisait pour sa part dans l'humour : « C'est à se demander si la commission européenne n'a pas vendu l'été pour éponger le déficit grec », a-t-il dit à propos du temps peu clément des derniers grands prix.