« Le design intérieur est composé de ‘sièges ventilés’ originaux et de la disposition de l’instrumentation de la voiture originale », a-t-il ajouté, « les instruments sont analogues et le tachymètre est dominant. Des versions modernes des boutons à culbuteur de la GT40 opèrent les systèmes principaux ».
« À l’arrière, peu importe leur budget, les amateurs seront en mesure de jeter un coup d’½il au V8 à compresseur de 5,4 litres qui propulse la GT, avec ses couvercles d’arbres à cames de couleur ‘bleu Ford’ », de poursuivre Hinrichs.
À propos de la structure requise pour que la GT soit à la hauteur, Ford a développé un cadre de châssis en treillis constitué d’aluminium extrudé, coulé et estampillé.
Selon Hinrichs,« bien que la GT soit vouée à la route, Ford s’est assurée d’y intégrer « certaines solutions d’ingénierie reliées à la course, comme créer le même effet aérodynamique intrinsèque au design de la voiture originale », car cette voiture de route demeure capable d’atteindre une vitesse aussi élevé que 330 km/h.
La technologie a fait un grand bout de chemin depuis 40 ans, alors la nouvelle GT se voit munie de panneaux en aluminium, d’un plancher sandwich en aluminium-carbone-aluminium, d’un tunnel central soudé par friction, un système de remplissage du réservoir sans capuchon, des panneaux de portières faits d’une seule pièce et un capot en aluminium avec une structure interne en fibre de carbone.
Comme sur toute voiture de course historique, les panneaux de carrosserie en aluminium de la Ford GT sont libres de contraintes résiduelles, mais à la place de l’acier ou de la structure en nid d’abeille utilisés pour les caisses des années 60, l’équipe de conception de la Ford GT a développé un tout nouveau châssis en treillis en aluminium pour la supporter. « Ce châssis comporte une suspension à leviers inégaux et les amortisseurs sont à l’intérieur des ressorts hélicoïdaux pour lui permettre d’arborer un profil aussi bas », de noter Hinrichs.
Le freinage est assuré par des étriers monobloc à 4 pistons de la firme Brembo aux quatre coins de la voiture et qui serrent des disques ventilés et percés transersalement.
« Lorsque le capot arrière est ouvert », d’ajouter Hinrich, « les composantes de la suspension et le moteur sont bien en évidence. Les composantes de suspension de haute précision en aluminium coulé et les pneus Goodyear de 19 pouces combinés à la présence majestueuse du V8, créent un apparence frappante et contribuent à l’image de performance de la Ford GT ».
Un bon nombre de propriétaires de véhicule Ford seront familiers avec le moteur V8 de 5,4 litres, car il propulse plusieurs des véhicules ‘plus civilisés’ de la marque. Par contre, dans ce cas ci, le moteur est constitué de 85% de nouvelles pièces et produit 550 chevaux et 500 lb-pi de couple.
Pour ceux qui sont intéressés par les données techniques, sachez que ces chiffres sont comparables à ceux du moteur de 7,0 litres qui a gagné la course du Mans en 1966 et en 1967.
Le 5,4 litres est tout aluminium. Il est muni d’un compresseur à vis Eaton, de culasses à 4 soupapes par cylindre et de composantes forgées comme le vilebrequin, les bielles au profilé en H et les pistons en aluminium.
La puissance est transmise aux roues arrière via une transmission manuelle à 6 rapports. Provenant de la firme Ricardo, cette dernière dispose d’un différentiel hélicoïdal à glissement limité.
« À l’arrière, peu importe leur budget, les amateurs seront en mesure de jeter un coup d’½il au V8 à compresseur de 5,4 litres qui propulse la GT, avec ses couvercles d’arbres à cames de couleur ‘bleu Ford’ », de poursuivre Hinrichs.
À propos de la structure requise pour que la GT soit à la hauteur, Ford a développé un cadre de châssis en treillis constitué d’aluminium extrudé, coulé et estampillé.
Selon Hinrichs,« bien que la GT soit vouée à la route, Ford s’est assurée d’y intégrer « certaines solutions d’ingénierie reliées à la course, comme créer le même effet aérodynamique intrinsèque au design de la voiture originale », car cette voiture de route demeure capable d’atteindre une vitesse aussi élevé que 330 km/h.
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| Ford GT (Photo : Ford Motor Company) |
Comme sur toute voiture de course historique, les panneaux de carrosserie en aluminium de la Ford GT sont libres de contraintes résiduelles, mais à la place de l’acier ou de la structure en nid d’abeille utilisés pour les caisses des années 60, l’équipe de conception de la Ford GT a développé un tout nouveau châssis en treillis en aluminium pour la supporter. « Ce châssis comporte une suspension à leviers inégaux et les amortisseurs sont à l’intérieur des ressorts hélicoïdaux pour lui permettre d’arborer un profil aussi bas », de noter Hinrichs.
Le freinage est assuré par des étriers monobloc à 4 pistons de la firme Brembo aux quatre coins de la voiture et qui serrent des disques ventilés et percés transersalement.
« Lorsque le capot arrière est ouvert », d’ajouter Hinrich, « les composantes de la suspension et le moteur sont bien en évidence. Les composantes de suspension de haute précision en aluminium coulé et les pneus Goodyear de 19 pouces combinés à la présence majestueuse du V8, créent un apparence frappante et contribuent à l’image de performance de la Ford GT ».
Un bon nombre de propriétaires de véhicule Ford seront familiers avec le moteur V8 de 5,4 litres, car il propulse plusieurs des véhicules ‘plus civilisés’ de la marque. Par contre, dans ce cas ci, le moteur est constitué de 85% de nouvelles pièces et produit 550 chevaux et 500 lb-pi de couple.
Pour ceux qui sont intéressés par les données techniques, sachez que ces chiffres sont comparables à ceux du moteur de 7,0 litres qui a gagné la course du Mans en 1966 et en 1967.
Le 5,4 litres est tout aluminium. Il est muni d’un compresseur à vis Eaton, de culasses à 4 soupapes par cylindre et de composantes forgées comme le vilebrequin, les bielles au profilé en H et les pistons en aluminium.
La puissance est transmise aux roues arrière via une transmission manuelle à 6 rapports. Provenant de la firme Ricardo, cette dernière dispose d’un différentiel hélicoïdal à glissement limité.