CARROSSERIE
La Taurus possède un atout indéniable dans sa catégorie en offrant une version berline et une version familiale. La berline compte trois versions -- de base, LE et SEL -- tandis qu'on ne retient que les deux dernières pour le modèle familial. L'esthétique extérieure de la berline commence à dater. Les formes obstructives du coffre de la berline empêchent de profiter pleinement de l'espace disponible. On préférera la familiale pour transporter des équipements de hockey ou les sacs de vos partenaires de golf.
MÉCANIQUE
Le V6 de 155 chevaux, de série dans la version de base, s'essouffle rapidement et rugit bruyamment en accélération. Les versions SE et SEL profitent du V6 de 200 chevaux, plus apte à bien remplir la tâche. Ces deux moteurs sont jumelés à une transmision automatique à 4 rapports. Par contre, on déplore l'absence d'un indicateur de sélection de vitesses au tableau de bord, obligeant le conducteur à quitter la route des yeux lors de certaines manoeuvres.
COMPORTEMENT
Sur la route, la direction assez précise devient floue sur un pavé de pierre ou une route de gravier. Douce et silencieuse, la Taurus présente des qualités de bonne routière sur l'autoroute. La qualité de sa suspension sur circuit urbain ou sur une route de gravier devient une tout autre question. La voiture tend à trop bondir de l'avant et oblige le conducteur à ralentir au point de rendre la conduite désagréable dans les rues du Vieux-Montréal. Enfin, son toit et ses appuie-tête gênent la visibilité.
La Taurus possède un atout indéniable dans sa catégorie en offrant une version berline et une version familiale. La berline compte trois versions -- de base, LE et SEL -- tandis qu'on ne retient que les deux dernières pour le modèle familial. L'esthétique extérieure de la berline commence à dater. Les formes obstructives du coffre de la berline empêchent de profiter pleinement de l'espace disponible. On préférera la familiale pour transporter des équipements de hockey ou les sacs de vos partenaires de golf.MÉCANIQUE
Le V6 de 155 chevaux, de série dans la version de base, s'essouffle rapidement et rugit bruyamment en accélération. Les versions SE et SEL profitent du V6 de 200 chevaux, plus apte à bien remplir la tâche. Ces deux moteurs sont jumelés à une transmision automatique à 4 rapports. Par contre, on déplore l'absence d'un indicateur de sélection de vitesses au tableau de bord, obligeant le conducteur à quitter la route des yeux lors de certaines manoeuvres.
COMPORTEMENT
Sur la route, la direction assez précise devient floue sur un pavé de pierre ou une route de gravier. Douce et silencieuse, la Taurus présente des qualités de bonne routière sur l'autoroute. La qualité de sa suspension sur circuit urbain ou sur une route de gravier devient une tout autre question. La voiture tend à trop bondir de l'avant et oblige le conducteur à ralentir au point de rendre la conduite désagréable dans les rues du Vieux-Montréal. Enfin, son toit et ses appuie-tête gênent la visibilité.