Technique de fabrication moderne
La T-Bird partage ses gènes avec la Jaguar S-Type et la Lincoln LS. Sous le capot de cette propulsion réside un V8 3.9 de 252 ch, associé à une boîte automatique 5 rapports. La plate-forme et la mécanique de la Lincoln LS ont la lourde tâche de tirer les quelque 1700 kg de l'engin. Mais la T-Bird ne cherche pas à être une super sportive. Son aînée fut lancée en 1955 pour concurrencer un autre mythe, la Corvette. Mais aujourd'hui, la philosophie des deux modèles a divergé. La sonorité du moteur a également été soignée, histoire de rappeler le son du V8 de la T-Bird d'origine. L'intérieur comme la plate-forme et la mécanique repique beaucoup d'items à la Lincoln LS, un manque d'originalité qui déçoit un peu. Il serait apprécié que l'originalité du dehors se poursuive à l'intérieur. Sur la route
Le plus grand défi de Ford était d'ajuster la suspension pour trouver un juste compromis. Considérer comme sportive en pantoufle, la T-Bird a finalement joué la carte du confort. Mais, malgré tout la suspension fait un travail honnête et la direction est prévisible. Moins rigide que ses consoeurs Jaguar et Lincoln, la Thunderbird ne s'adresse pas au même public. Ford prévoit mettre sur le marché 25.000 T-Birds par année pour les États-Unis et de ce nombre près de 150 seront destinés au marché québécois. S'agira-t-il d'un feu de paille ou d'une seconde vie. Les ingénieurs de Ford affirment qu'ils vont apporter des petits changements régulièrement sur la voiture pour garder l'intérêt, mais ultimement, c'est le public qui aura le dernier mot.
La T-Bird partage ses gènes avec la Jaguar S-Type et la Lincoln LS. Sous le capot de cette propulsion réside un V8 3.9 de 252 ch, associé à une boîte automatique 5 rapports. La plate-forme et la mécanique de la Lincoln LS ont la lourde tâche de tirer les quelque 1700 kg de l'engin. Mais la T-Bird ne cherche pas à être une super sportive. Son aînée fut lancée en 1955 pour concurrencer un autre mythe, la Corvette. Mais aujourd'hui, la philosophie des deux modèles a divergé. La sonorité du moteur a également été soignée, histoire de rappeler le son du V8 de la T-Bird d'origine. L'intérieur comme la plate-forme et la mécanique repique beaucoup d'items à la Lincoln LS, un manque d'originalité qui déçoit un peu. Il serait apprécié que l'originalité du dehors se poursuive à l'intérieur. Sur la route
Le plus grand défi de Ford était d'ajuster la suspension pour trouver un juste compromis. Considérer comme sportive en pantoufle, la T-Bird a finalement joué la carte du confort. Mais, malgré tout la suspension fait un travail honnête et la direction est prévisible. Moins rigide que ses consoeurs Jaguar et Lincoln, la Thunderbird ne s'adresse pas au même public. Ford prévoit mettre sur le marché 25.000 T-Birds par année pour les États-Unis et de ce nombre près de 150 seront destinés au marché québécois. S'agira-t-il d'un feu de paille ou d'une seconde vie. Les ingénieurs de Ford affirment qu'ils vont apporter des petits changements régulièrement sur la voiture pour garder l'intérêt, mais ultimement, c'est le public qui aura le dernier mot.