Un document interne de General Motors mis en ligne par le Wall Street Journal révèle que les employés du constructeur doivent observer une « charte du vocabulaire » lorsqu’ils rédigent des rapports en lien avec des défaillances techniques.
Ainsi, on recommande aux employés de s’en tenir aux faits, « …sans adjectifs de jugement ni spéculation ». Des mots comme « dangereux », « critique », « problème » sont donc à proscrire des communications, tout comme ceux, disons plus originaux tels que « qui décapite », « éviscéré », « suicidaire », « peut potentiellement défigurer » et « fabricant de veuf »…
Par ailleurs, les employés sont encouragés à éluder certains mots, en employant diverses périphrases : par exemple, pour ne pas dire de manière trop directe que quelque chose est bien ou mauvais, ils pourraient dire que cette chose « dépasse » ou est « sous les exigences ».
Source : blogs.wsj.com
Ainsi, on recommande aux employés de s’en tenir aux faits, « …sans adjectifs de jugement ni spéculation ». Des mots comme « dangereux », « critique », « problème » sont donc à proscrire des communications, tout comme ceux, disons plus originaux tels que « qui décapite », « éviscéré », « suicidaire », « peut potentiellement défigurer » et « fabricant de veuf »…
Par ailleurs, les employés sont encouragés à éluder certains mots, en employant diverses périphrases : par exemple, pour ne pas dire de manière trop directe que quelque chose est bien ou mauvais, ils pourraient dire que cette chose « dépasse » ou est « sous les exigences ».
Source : blogs.wsj.com