DES PERFORMANCES INTÉRESSANTES
Les deux versions demeurent fidèles au 4 cylindres 2 litres de 140 chevaux. Sans vouloir faire un mauvais jeu de mots, je maintiens ma position à l'effet que les chevaux coréens s'apparentent davantage à des ponies, mais malgré cela, le moteur de l'Elantra donne satisfaction. Avec ses culasses améliorées et son vilebrequin à 8 contrepoids mieux équilibré, il tourne en douceur sans faire d'éclat ni beaucoup de bruit, et la courbe de son couple apparaît substantielle et très linéaire. Il bénéficie aussi de supports hydrauliques qui l'isolent mieux du châssis, et se passe maintenant d'un distributeur pour l'allumage. La boîte manuelle reçoit quant à elle des modifications qui améliorent grandement la sélection des vitesses, et l'automatique à 4 rapports comprend une gestion électronique des changements de vitesse. Les suspensions indépendantes demeurent pratiquement inchangées, sauf que les amortisseurs sont maintenant à gaz sous pression. Les freins assistés à disque/tambour ne peuvent recevoir l'ABS.
L'Elantra nouvelle mouture affiche un comportement routier très sain et les pneus de 15 pouces, malgré leur origine coréenne, assurent un roulement silencieux et s'accrochent avec assez de ténacité à la route. La direction semble un peu paresseuse, et la voiture démontre une certaine tendance à suivre les ornières, mais l'Elantra reste normalement fidèle au cap imposé et avale les courbes avec efficacité, sans trop rouler. Le silence de fonctionnement impressionne à 100 km/h, car l'air glisse silencieusement sur la carrosserie, et le moteur murmure doucement à 2 200 tr/min. Le levier de la boîte de vitesses manuelle se manie bien, et l'embrayage progressif facilite les départs, même en pente... L'automatique constitue une révélation par rapport à sa devancière, car elle effectue maintenant avec plus de douceur et sans hésitation les changements de rapport. Le freinage ralentit la berline avec aplomb, mais la pédale pourrait être plus dure.
Les deux versions demeurent fidèles au 4 cylindres 2 litres de 140 chevaux. Sans vouloir faire un mauvais jeu de mots, je maintiens ma position à l'effet que les chevaux coréens s'apparentent davantage à des ponies, mais malgré cela, le moteur de l'Elantra donne satisfaction. Avec ses culasses améliorées et son vilebrequin à 8 contrepoids mieux équilibré, il tourne en douceur sans faire d'éclat ni beaucoup de bruit, et la courbe de son couple apparaît substantielle et très linéaire. Il bénéficie aussi de supports hydrauliques qui l'isolent mieux du châssis, et se passe maintenant d'un distributeur pour l'allumage. La boîte manuelle reçoit quant à elle des modifications qui améliorent grandement la sélection des vitesses, et l'automatique à 4 rapports comprend une gestion électronique des changements de vitesse. Les suspensions indépendantes demeurent pratiquement inchangées, sauf que les amortisseurs sont maintenant à gaz sous pression. Les freins assistés à disque/tambour ne peuvent recevoir l'ABS.
L'Elantra nouvelle mouture affiche un comportement routier très sain et les pneus de 15 pouces, malgré leur origine coréenne, assurent un roulement silencieux et s'accrochent avec assez de ténacité à la route. La direction semble un peu paresseuse, et la voiture démontre une certaine tendance à suivre les ornières, mais l'Elantra reste normalement fidèle au cap imposé et avale les courbes avec efficacité, sans trop rouler. Le silence de fonctionnement impressionne à 100 km/h, car l'air glisse silencieusement sur la carrosserie, et le moteur murmure doucement à 2 200 tr/min. Le levier de la boîte de vitesses manuelle se manie bien, et l'embrayage progressif facilite les départs, même en pente... L'automatique constitue une révélation par rapport à sa devancière, car elle effectue maintenant avec plus de douceur et sans hésitation les changements de rapport. Le freinage ralentit la berline avec aplomb, mais la pédale pourrait être plus dure.