Les occupants bénéficient également d'une gamme complète d'équipements rendant la voiture encore plus confortable à l'usage. L'écran de navigation est à haute définition, et l'on retrouve tout l'équipement nécessaire et comparable au reste de la catégorie et même plus. Les sièges sont confortables, malgré une faiblesse du côté du soutien latéral.
L'espace est généreux à toutes les places, dans le plus grand confort. Les sièges avant sont chauffants, mais le conducteur, lui, jouit d'un siège climatisé. Un petit bémol vient du fait que la banquette arrière n'est pas rabattable et qu'elle ne jouit que d'une petite trappe dans l'assise centrale, insuffisante pour une planche à neige.
Il y a encore la motorisation
Il est certain que l'enveloppe et les gâteries de Genesis impressionnent, mais cette reproduction peut être facile. Là où la Genesis révolutionne la catégorie, c'est du côté de la mécanique. En effet, la voiture est la première à être mue par le puissant V8 de 4,6 litres, baptisé Tau, développant une puissance de 375 chevaux, eh oui, 375 chevaux dans une Hyundai et à propulsion de surcroît.
Ce nouveau moteur est d'une grande souplesse et extrêmement docile. De plus, la boîte de vitesses automatique à 6 rapports fait des merveilles et est d'une grande discrétion. L'étagement est bien contrôlé, et tout s'exécute rapidement. Le tandem moteur-boîte donne des accélérations rapides et précises.
Les qualités dynamiques sont aussi bien présentes, et ce, malgré un poids important. La tenue de route est bonne, même si les routes sinueuses ne sont pas sa principale vocation. La direction fait sentir une certaine lourdeur. Malgré tout, le plaisir est au rendez-vous, et l'agrément de conduite est notable. La suspension à cinq bras en aluminium est très souple et absorbe tous les défauts de la route. Les amortisseurs à gaz contribuent énormément au confort et font de la Genesis une grande routière.
Les aides électroniques à la conduite sont discrètes, et l'équipement de sécurité ne laisse rien au hasard. Les freins font un bon travail. Ce qui est surtout appréciable sur la voiture, c'est l'homogénéité des tous les composants qui travaillent de concert pour assurer une qualité qui permet à la Genesis de se frotter aux meilleures berlines du monde (lire ici les voitures précédemment nommées en introduction).
Concurrence
La Genesis possède l'avantage de la puissance sur toutes ses concurrentes. Les berlines pleine grandeur à propulsion sous les 50 000 $ et mues par un V8 ne sont pas légion, mais on peut certainement en citer quelques-unes : la Buick Lucerne Super (à partir de 48 425 $), la Chrysler 300C (à partir de 45 845 $) et la Pontiac G8 (à partir de 37 450 $). Notre voiture d'essai équipée de l'ensemble technologie coûte 48 995 $.
Conclusion
Hyundai offre une berline vraiment exceptionnelle qui mérite une attention particulière. Ses qualités la placent en position stratégique pour faire rougir de honte des berlines qui se vendent plusieurs dizaines de milliers de dollars de plus. La seule question qui reste est : « Que peut-on faire avec une économie de 30 000 $ ? » Seul l'acheteur aura le plaisir d'y répondre. Et j'ai bien envie de le faire !
photo:Matthieu Lambert
L'espace est généreux à toutes les places, dans le plus grand confort. Les sièges avant sont chauffants, mais le conducteur, lui, jouit d'un siège climatisé. Un petit bémol vient du fait que la banquette arrière n'est pas rabattable et qu'elle ne jouit que d'une petite trappe dans l'assise centrale, insuffisante pour une planche à neige.
Il y a encore la motorisation
Il est certain que l'enveloppe et les gâteries de Genesis impressionnent, mais cette reproduction peut être facile. Là où la Genesis révolutionne la catégorie, c'est du côté de la mécanique. En effet, la voiture est la première à être mue par le puissant V8 de 4,6 litres, baptisé Tau, développant une puissance de 375 chevaux, eh oui, 375 chevaux dans une Hyundai et à propulsion de surcroît.
Ce nouveau moteur est d'une grande souplesse et extrêmement docile. De plus, la boîte de vitesses automatique à 6 rapports fait des merveilles et est d'une grande discrétion. L'étagement est bien contrôlé, et tout s'exécute rapidement. Le tandem moteur-boîte donne des accélérations rapides et précises.
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| Elle est la première à être mue par le puissant V8 Tau de 4,6 litres développant 375 chevaux. |
Les qualités dynamiques sont aussi bien présentes, et ce, malgré un poids important. La tenue de route est bonne, même si les routes sinueuses ne sont pas sa principale vocation. La direction fait sentir une certaine lourdeur. Malgré tout, le plaisir est au rendez-vous, et l'agrément de conduite est notable. La suspension à cinq bras en aluminium est très souple et absorbe tous les défauts de la route. Les amortisseurs à gaz contribuent énormément au confort et font de la Genesis une grande routière.
Les aides électroniques à la conduite sont discrètes, et l'équipement de sécurité ne laisse rien au hasard. Les freins font un bon travail. Ce qui est surtout appréciable sur la voiture, c'est l'homogénéité des tous les composants qui travaillent de concert pour assurer une qualité qui permet à la Genesis de se frotter aux meilleures berlines du monde (lire ici les voitures précédemment nommées en introduction).
Concurrence
La Genesis possède l'avantage de la puissance sur toutes ses concurrentes. Les berlines pleine grandeur à propulsion sous les 50 000 $ et mues par un V8 ne sont pas légion, mais on peut certainement en citer quelques-unes : la Buick Lucerne Super (à partir de 48 425 $), la Chrysler 300C (à partir de 45 845 $) et la Pontiac G8 (à partir de 37 450 $). Notre voiture d'essai équipée de l'ensemble technologie coûte 48 995 $.
Conclusion
Hyundai offre une berline vraiment exceptionnelle qui mérite une attention particulière. Ses qualités la placent en position stratégique pour faire rougir de honte des berlines qui se vendent plusieurs dizaines de milliers de dollars de plus. La seule question qui reste est : « Que peut-on faire avec une économie de 30 000 $ ? » Seul l'acheteur aura le plaisir d'y répondre. Et j'ai bien envie de le faire !
photo:Matthieu Lambert
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