Hyundai veut que vous brûliez d'envie d'acheter la Veloster, alors celle-ci comprend d'autres technologies alléchantes. Pour la première fois de l'histoire, la compagnie offre une boîte à double embrayage appelée « EcoShift ». Cette merveille comptant six rapports fonctionne exactement comme la Powershift de Ford ou la DSG de Volkswagen. Vous pouvez laisser le levier en « D » et la boîte agira comme une automatique ordinaire grâce à une fonction de retenue dans les pentes. Vous pouvez également glisser le levier vers la droite et toujours changer les rapports à l'aide des sélecteurs au volant.
La principale différence avec la DSG, c'est le temps de réaction beaucoup plus lent. À l'instar de Ford, Hyundai a visiblement programmé sa boîte à double embrayage de façon à maximiser l'économie d'essence.
Continuons à parler de technologie... Le petit moteur de 1,6 litre sous le capot utilise mille et une astuces pour optimiser son efficacité et son rendement, notamment l'injection directe. Considérant les 138 chevaux, il affiche l'un des meilleurs ratios puissance/litre de cylindrée – une preuve que Hyundai a bien fait ses devoirs.
Qu'elle exploite la boîte EcoShift ou la manuelle à six rapports (de série), la Veloster 2012 ne brise pas des records d'accélération. En revanche, elle consomme un maigre 4,9 litres aux 100 kilomètres sur l'autoroute. Dans la vie de tous les jours, attendez-vous à une moyenne oscillant entre 6,5 et 7,5 litres. Il faut savoir que la manuelle autorise un meilleur contrôle du potentiel de la voiture. Vous ai-je mentionné que l'EcoShift était relativement lente à changer de rapport, même en mode manuel?
Ne laissez pas la Veloster vous avoir avec son petit air mignon; elle a de l'étoffe! Bâtie comme un char d'assaut et très rigide grâce, entre autres, à l'ingénieuse configuration 3+1 des portières (une du côté conducteur, deux du côté passager et des piliers centraux décalés), la belle Hyundai dégage l'impression de sécurité et de solidité recherchée. Sa bonne qualité d'assemblage aurait dû se traduire par un roulement plus silencieux. Or, je l'ai trouvé aussi bruyant sinon plus que celui d'autres compactes récemment testées. On ne compte pas des buts à chaque période, n'est-ce pas?
Ici, la solidité et la rigidité se traduisent par une tenue de route ferme et sportive. Sur les nombreuses routes en lacet que nous avons empruntées en montagne, la Veloster s'est montrée stable, bien collée à la chaussée et très certainement capable d'attaquer les virages plus rapidement que je l'ai fait. J'ai quand même un doute sur son niveau de confort en ville, où les bosses et nids-de-poule abondent. La Veloster risque de s'y sentir moins à l'aise.
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| Pour la première fois de l'histoire, la compagnie offre une boîte à double embrayage appelée « EcoShift ». (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |
La principale différence avec la DSG, c'est le temps de réaction beaucoup plus lent. À l'instar de Ford, Hyundai a visiblement programmé sa boîte à double embrayage de façon à maximiser l'économie d'essence.
Continuons à parler de technologie... Le petit moteur de 1,6 litre sous le capot utilise mille et une astuces pour optimiser son efficacité et son rendement, notamment l'injection directe. Considérant les 138 chevaux, il affiche l'un des meilleurs ratios puissance/litre de cylindrée – une preuve que Hyundai a bien fait ses devoirs.
Qu'elle exploite la boîte EcoShift ou la manuelle à six rapports (de série), la Veloster 2012 ne brise pas des records d'accélération. En revanche, elle consomme un maigre 4,9 litres aux 100 kilomètres sur l'autoroute. Dans la vie de tous les jours, attendez-vous à une moyenne oscillant entre 6,5 et 7,5 litres. Il faut savoir que la manuelle autorise un meilleur contrôle du potentiel de la voiture. Vous ai-je mentionné que l'EcoShift était relativement lente à changer de rapport, même en mode manuel?
Ne laissez pas la Veloster vous avoir avec son petit air mignon; elle a de l'étoffe! Bâtie comme un char d'assaut et très rigide grâce, entre autres, à l'ingénieuse configuration 3+1 des portières (une du côté conducteur, deux du côté passager et des piliers centraux décalés), la belle Hyundai dégage l'impression de sécurité et de solidité recherchée. Sa bonne qualité d'assemblage aurait dû se traduire par un roulement plus silencieux. Or, je l'ai trouvé aussi bruyant sinon plus que celui d'autres compactes récemment testées. On ne compte pas des buts à chaque période, n'est-ce pas?
Ici, la solidité et la rigidité se traduisent par une tenue de route ferme et sportive. Sur les nombreuses routes en lacet que nous avons empruntées en montagne, la Veloster s'est montrée stable, bien collée à la chaussée et très certainement capable d'attaquer les virages plus rapidement que je l'ai fait. J'ai quand même un doute sur son niveau de confort en ville, où les bosses et nids-de-poule abondent. La Veloster risque de s'y sentir moins à l'aise.
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| La Veloster s'est montrée stable, bien collée à la chaussée et très certainement capable d'attaquer les virages plus rapidement que je l'ai fait. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |