En dépit de son immense popularité dans le paddock de l'ovale d'Indianapolis, le Français Jean Alesi éprouve beaucoup de frustrations sur le tracé de 2,5 milles.
L'ancien pilote de Formule 1, et ambassadeur de la marque Lotus, a décidé de disputer l'Indy 500 cette année, répondant favorablement à l'invitation que lui ont lancée Claudio Berro et Gino Rosato, deux anciens de Ferrari, comme lui, désormais chez Lotus.
Bizarrement, trouver une écurie fut long. Des premiers contacts ont été établis avec Newman-Haas, sans succès. Puis, d'autres avec HVM, qui ont aussi échoués. Finalement, une entente a été conclue avec une toute nouvelle écurie, Fan Force United Team.
Le principal problème est que la Dallara DW12 d'Alesi est propulsée par un moteur Lotus, bien connu pour son manque cruel de puissance. Et depuis le début des essais libres, le nom du pauvre Alesi est constamment affiché au bas des feuilles de chronos.
Hier, mercredi, une controverse a éclaté quand Alesi a exprimé sa frustration.
« Actuellement je ne me sens pas en sécurité à rouler aussi lentement au milieu de la piste. Je suis inquiet pour mes amis pilotes, car nous n'arrivons pas à atteindre la vitesse requise. Je suis à fond, et je n'ai atteint que 205 m/h, et c'est le maximum que la voiture peut donner. Je ne suis pas dans une position confortable, » a-t-il déclaré.
Alesi ne dit pas que la voiture est dangereuse ou qu'il a peur des vitesses, mais que c'est la différence des vitesses entre sa monoplace et les autres, plus rapides, qui l'inquiète.
Dans un communiqué de presse publié mercredi, l'écurie affirme, avec optimisme, qu'Alesi a toujours confiance en l'équipe et qu'il continuera, déterminé, à travailler à trouver des améliorations dans tous les domaines possibles.
La seule façon qu'Alesi puisse améliorer la vitesse de sa voiture sous-motorisée est de réduire son niveau d'appui aérodynamique. Toutefois, si cela augmente sa vitesse maximale en ligne droite, le manque d'appui la rendra très délicate, voire impossible à conduire dans les quatre virages.
L'ancien pilote de Formule 1, et ambassadeur de la marque Lotus, a décidé de disputer l'Indy 500 cette année, répondant favorablement à l'invitation que lui ont lancée Claudio Berro et Gino Rosato, deux anciens de Ferrari, comme lui, désormais chez Lotus.
Bizarrement, trouver une écurie fut long. Des premiers contacts ont été établis avec Newman-Haas, sans succès. Puis, d'autres avec HVM, qui ont aussi échoués. Finalement, une entente a été conclue avec une toute nouvelle écurie, Fan Force United Team.
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| Jean Alesi, Fan Force United Team. (Photo: IMS) |
Le principal problème est que la Dallara DW12 d'Alesi est propulsée par un moteur Lotus, bien connu pour son manque cruel de puissance. Et depuis le début des essais libres, le nom du pauvre Alesi est constamment affiché au bas des feuilles de chronos.
Hier, mercredi, une controverse a éclaté quand Alesi a exprimé sa frustration.
« Actuellement je ne me sens pas en sécurité à rouler aussi lentement au milieu de la piste. Je suis inquiet pour mes amis pilotes, car nous n'arrivons pas à atteindre la vitesse requise. Je suis à fond, et je n'ai atteint que 205 m/h, et c'est le maximum que la voiture peut donner. Je ne suis pas dans une position confortable, » a-t-il déclaré.
Alesi ne dit pas que la voiture est dangereuse ou qu'il a peur des vitesses, mais que c'est la différence des vitesses entre sa monoplace et les autres, plus rapides, qui l'inquiète.
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| Jean Alesi. (Photo: IMS) |
Dans un communiqué de presse publié mercredi, l'écurie affirme, avec optimisme, qu'Alesi a toujours confiance en l'équipe et qu'il continuera, déterminé, à travailler à trouver des améliorations dans tous les domaines possibles.
La seule façon qu'Alesi puisse améliorer la vitesse de sa voiture sous-motorisée est de réduire son niveau d'appui aérodynamique. Toutefois, si cela augmente sa vitesse maximale en ligne droite, le manque d'appui la rendra très délicate, voire impossible à conduire dans les quatre virages.