Voyages sublimes, mais chers
Même si je n’ai jamais conduit plus d’une heure environ sur l’autoroute, il était on ne peut plus évident que le QX56 2011 serait le compagnon de voyage idéal. S’il y a un bémol, toutefois, c’est bien la consommation. L’ordinateur de bord de mon modèle affichait une cote moyenne de 19,6 litres aux 100 kilomètres.
Bon, j’ai conduit surtout en ville et en montagne, mais quand même, la consommation laisse à désirer malgré les cotes officielles de 15,7 L et 10,3 L en ville et sur la route, respectivement. Et croyez-le ou non, ces données représentent une amélioration majeure par rapport aux chiffres lamentables de l’an dernier!
Conclusion
Malgré la tare que représentent les gros VUS à base de camionnette et leur soif inextinguible, j’ai savouré chaque instant derrière le volant de mon QX56. Si j’avais une baguette magique, j’en bornerais fermement la consommation et l’empreinte carbone qui en découle. Après, je prendrais mes aises et me délecterais de chaque luxueux kilomètre, un plus silencieux et doux que l’autre.
Même si je n’ai jamais conduit plus d’une heure environ sur l’autoroute, il était on ne peut plus évident que le QX56 2011 serait le compagnon de voyage idéal. S’il y a un bémol, toutefois, c’est bien la consommation. L’ordinateur de bord de mon modèle affichait une cote moyenne de 19,6 litres aux 100 kilomètres.
Il est incroyablement raffiné et singulièrement indulgent, par contret, malheureusement, il n’a aucune pitié à la pompe. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Bon, j’ai conduit surtout en ville et en montagne, mais quand même, la consommation laisse à désirer malgré les cotes officielles de 15,7 L et 10,3 L en ville et sur la route, respectivement. Et croyez-le ou non, ces données représentent une amélioration majeure par rapport aux chiffres lamentables de l’an dernier!
Conclusion
Malgré la tare que représentent les gros VUS à base de camionnette et leur soif inextinguible, j’ai savouré chaque instant derrière le volant de mon QX56. Si j’avais une baguette magique, j’en bornerais fermement la consommation et l’empreinte carbone qui en découle. Après, je prendrais mes aises et me délecterais de chaque luxueux kilomètre, un plus silencieux et doux que l’autre.