Or, les 306 chevaux animant les quatre roues de mon modèle d’essai compact et assuré offrent des sensations fortes à souhait. Poussez-la, et la IS 350 AWD se montre agile et vive, se comportant comme un modèle à propulsion stable et prévisible. Elle est merveilleusement sensible au transfert de poids, a beaucoup de jus en sortie de virage et dispose d’une direction et de freins rapides et nerveux. La suspension se révélera un peu raide pour certains, mais les amateurs de maniabilité et de performances seront ouverts au compromis.
Bonne boîte, vilaines palettes
Mon bolide d’essai arrive muni d’une boîte automatique à six rapports de série avec palettes au volant.
La bonne nouvelle : en mode D, elle s’avère très sensible, rétrograde sur-le-champ et travaille de concert avec le moteur enthousiaste pour catapulter la IS sur une vague gutturale au moindre effleurement de la pédale.
La mauvaise nouvelle: elle fait ce qu’elle veut malgré l’intervention du conducteur par l’intermédiaire des palettes. Elle ignore la commande hâtive de passer en vitesse supérieure, et quand on enfonce la pédale, elle rétrograde, peu importe le rapport enclenché. Lesdites palettes deviennent superflues, mais on le lui pardonnera vu les accélérations fulgurantes et les reprises instantanées.
À bord
On savoure l’expérience depuis un habitacle unique. La palette toute en noir de mon modèle était légèrement entrecoupée de garnitures métalliques et de quelques textures contrastantes. Aucune stimulation visuelle excessive ici, outre les sublimes instruments d’aspect technique. Fidèle à la tradition de Lexus, l’habitacle hérite de garnitures ravissantes et d’une finition impeccable, et il s’avère pour la plupart convivial.
Bravo également pour les sièges si confortables, la puissante chaîne audio Mark Levinson et la bonne visibilité globale. On y trouve un système de navigation, l’interface Bluetooth et même des sièges avant électriques, chauffants et ventilés. Un endroit décontracté et apaisant où il fait aussi bon se balader tranquillement.
Bonne boîte, vilaines palettes
Mon bolide d’essai arrive muni d’une boîte automatique à six rapports de série avec palettes au volant.
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| Poussez-la, et la IS 350 AWD se montre agile et vive, se comportant comme un modèle à propulsion stable et prévisible. (Photo: Lexus) |
La bonne nouvelle : en mode D, elle s’avère très sensible, rétrograde sur-le-champ et travaille de concert avec le moteur enthousiaste pour catapulter la IS sur une vague gutturale au moindre effleurement de la pédale.
La mauvaise nouvelle: elle fait ce qu’elle veut malgré l’intervention du conducteur par l’intermédiaire des palettes. Elle ignore la commande hâtive de passer en vitesse supérieure, et quand on enfonce la pédale, elle rétrograde, peu importe le rapport enclenché. Lesdites palettes deviennent superflues, mais on le lui pardonnera vu les accélérations fulgurantes et les reprises instantanées.
À bord
On savoure l’expérience depuis un habitacle unique. La palette toute en noir de mon modèle était légèrement entrecoupée de garnitures métalliques et de quelques textures contrastantes. Aucune stimulation visuelle excessive ici, outre les sublimes instruments d’aspect technique. Fidèle à la tradition de Lexus, l’habitacle hérite de garnitures ravissantes et d’une finition impeccable, et il s’avère pour la plupart convivial.
Bravo également pour les sièges si confortables, la puissante chaîne audio Mark Levinson et la bonne visibilité globale. On y trouve un système de navigation, l’interface Bluetooth et même des sièges avant électriques, chauffants et ventilés. Un endroit décontracté et apaisant où il fait aussi bon se balader tranquillement.
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| La palette toute en noir de mon modèle était légèrement entrecoupée de garnitures métalliques et de quelques textures contrastantes. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |