Malheureusement, je ne peux vous dire quel moteur animera notre nouvelle Classe B l’an prochain. Or, je peux vous assurer qu’il ne s’agira pas d’un de ceux mis à notre disposition lors de notre essai routier. Mon collègue et moi avons choisi le B 200 BlueEFFICIENCY, un quatre-cylindres turbo sport de 1,6 litre. En sa version 200, il produit 156 ch et 184 pi-lb de couple. Les Européens peuvent également opter pour un B 180 générant 122 ch.
Du lot (on proposait également deux diesels CDI), j’ai jeté mon dévolu sur le BlueEFFICIENCY parce qu’il correspond aux attentes en matière de puissance qu’ont les Nord-Américains face aux produits de prestige comme la Mercedes Classe B. Super musclé, le 1.6T mettait admirablement bien les sveltes 1 400 kilos de la B en branle.
Mercedes nous annonce que le Canada, comme d’autres marchés dans le monde, recevra un autre tout nouveau moteur s’apparentant au 1,6-litre, un moteur pas encore offert sur un quelque produit du constructeur qui soit. Je soupçonne le retour d’un 2,0-litres (vraisemblablement turbocompressé), son rendement reflétant de près celui de la Classe B 2011, avec quelques chevaux en plus (j’avancerais 160 et 220 ch), mais consommant considérablement moins d’essence et fonctionnant avec beaucoup plus de raffinement.
À ce sujet, je peux vous annoncer que les boîtes manuelles à cinq et six vitesses ne seront plus de la partie. Toutes nos voitures compteront sur une boîte à double embrayage à sept rapports baptisée 7G-DCT. Nous avons eu la chance d’essayer deux modèles munis de la même boîte, et ses performances nous ont satisfaits.
En mode « D », elle travaille en douceur et sans brusquerie. En mode Sport elle devient légèrement plus vive, mais ce n’est qu’en mode « M » ou manuel que sa réelle nature transparaît. La plupart du temps, elle retardait les rétrogradations lors de manœuvres fougueuses, son instinct d’autopréservation émergeant rapidement.
La DCT entraîne une diminution de consommation de près de 10 % par rapport à l’ancienne CVT. Une bonne partie de ces économies découlent de la fonction de marche/arrêt de série qu’on peut actionner en appuyant sur le bouton ECO au milieu de la console centrale. Contrairement aux autres rares modèles dotés de cette fonction verte, le marche/arrêt de la Classe B s’allume et s’éteint sans cesse à la moindre pression de la pédale. Pris dans une intersection saturée à Vienne, nous l’avons observé à l’œuvre, s’activant une douzaine de fois dans l’espace de deux minutes.
Qu’est-ce qui se marie toujours bien à un superbe look extérieur et une dynamique de conduite décidément enthousiasmante? Un cockpit soigné! Mercedes n’a pas laissé faire le hasard ici. On parle d’un tableau de bord fait de matériaux de grande qualité, de commandes simples et du genre de souci du détail auquel on s’attend désormais des gars de Stuttgart.
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| Mon collègue et moi avons choisi le B 200 BlueEFFICIENCY, un quatre-cylindres turbo sport de 1,6 litre. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |
Du lot (on proposait également deux diesels CDI), j’ai jeté mon dévolu sur le BlueEFFICIENCY parce qu’il correspond aux attentes en matière de puissance qu’ont les Nord-Américains face aux produits de prestige comme la Mercedes Classe B. Super musclé, le 1.6T mettait admirablement bien les sveltes 1 400 kilos de la B en branle.
Mercedes nous annonce que le Canada, comme d’autres marchés dans le monde, recevra un autre tout nouveau moteur s’apparentant au 1,6-litre, un moteur pas encore offert sur un quelque produit du constructeur qui soit. Je soupçonne le retour d’un 2,0-litres (vraisemblablement turbocompressé), son rendement reflétant de près celui de la Classe B 2011, avec quelques chevaux en plus (j’avancerais 160 et 220 ch), mais consommant considérablement moins d’essence et fonctionnant avec beaucoup plus de raffinement.
À ce sujet, je peux vous annoncer que les boîtes manuelles à cinq et six vitesses ne seront plus de la partie. Toutes nos voitures compteront sur une boîte à double embrayage à sept rapports baptisée 7G-DCT. Nous avons eu la chance d’essayer deux modèles munis de la même boîte, et ses performances nous ont satisfaits.
En mode « D », elle travaille en douceur et sans brusquerie. En mode Sport elle devient légèrement plus vive, mais ce n’est qu’en mode « M » ou manuel que sa réelle nature transparaît. La plupart du temps, elle retardait les rétrogradations lors de manœuvres fougueuses, son instinct d’autopréservation émergeant rapidement.
La DCT entraîne une diminution de consommation de près de 10 % par rapport à l’ancienne CVT. Une bonne partie de ces économies découlent de la fonction de marche/arrêt de série qu’on peut actionner en appuyant sur le bouton ECO au milieu de la console centrale. Contrairement aux autres rares modèles dotés de cette fonction verte, le marche/arrêt de la Classe B s’allume et s’éteint sans cesse à la moindre pression de la pédale. Pris dans une intersection saturée à Vienne, nous l’avons observé à l’œuvre, s’activant une douzaine de fois dans l’espace de deux minutes.
Qu’est-ce qui se marie toujours bien à un superbe look extérieur et une dynamique de conduite décidément enthousiasmante? Un cockpit soigné! Mercedes n’a pas laissé faire le hasard ici. On parle d’un tableau de bord fait de matériaux de grande qualité, de commandes simples et du genre de souci du détail auquel on s’attend désormais des gars de Stuttgart.
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| Une bonne partie de ces économies de carburant découlent de la fonction de marche/arrêt de série qu’on peut actionner en appuyant sur le bouton ECO au milieu de la console centrale. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |