Deux V6 seulement
Mercedes-Benz Canada, de concert avec la maison-mère, a fait le choix de se limiter à deux motorisations : le V6 de 3 litres, qui développe 228 chevaux, et le V6 de 3,5 litres, qui livre 268 chevaux. Le premier s'accouple de série à une boîte manuelle à 6 rapports, tandis que le 3,5-litres n'est livré qu'avec la boîte automatique à 7 rapports, offerte en option sur le 3-litres. Soyons réalistes ! Il n'y aura que peu de C300 à boîte manuelle importées au pays. Je regrette l'absence du fameux 4-cylindres de 2,3 litres, un engin solide, fiable et très économe. On ne verra pas non plus de moteur diesel avant au moins deux ans, et ce, parce que nos voisins du sud ont établi des normes antipollution particulières pour eux afin d'éviter l'invasion européenne des moteurs diesel modernes et efficaces.
Le V6 de 3 litres peut utiliser l'essence avec éthanol, (cote FlexE-85). Mais ce 3-litres est déjà économe : on prévoit une consommation moyenne de 9,9 litres aux 100 kilomètres. À 115 km/h sur l'autoroute, on pourra espérer 8,5 litres aux 100 kilomètres sans problème, et peut-être mieux. Mercedes a une bonne réputation à cet égard.
Plus d'espace
L'une des grandes qualités de la nouvelle Classe C réside dans un meilleur aménagement de l'habitacle. On s'y sent plus à l'aise. À l'avant comme à l'arrière, les ingénieurs ont dégagé plus d'espace pour les passagers. Même, un grand de six pieds y trouve son compte à l'arrière. Les sièges avant maintiennent bien les passagers. Comme conducteur, j'ai aimé la finition du tableau de bord car le matériau plus mat évite les reflets dans le pare-brise. Mon passager, quant à lui, considérait le résultat pas suffisamment chic pour une Mercedes. Il a également critiqué le bouton de verrouillage de la portière, le trouvant trop pointu.
L'aménagement des commandes se révèle efficace et pratique. Mercedes-Benz ajoute à sa Classe C un sélecteur électronique dans la console centrale pour remplacer plusieurs boutons de commande. Il fonctionne comme une souris d'ordinateur et se révèle très convivial.
Enfin un écran lisible
Le nouvel écran de 7 pouces du [link artid="949532"]système de navigation[/link] (en option) mérite des éloges. Je ne suis pas un adepte de ces systèmes qui apportent trop de distractions et obligent le conducteur à détourner les yeux de la route trop longtemps pour le consulter. Cette fois, j'ai été ravi de la visibilité de cet écran rétractable : il est bien placé, facile à consulter rapidement. Mon passager m'a fait également l'éloge de la carte-mémoire qu'on peut insérer dans le système audio et vidéo. De série, les berlines de Classe C sont livrées avec une chaîne audio de qualité, mais le mélomane pourra opter pour la chaîne ambiophonique Harman/Kardon Logic 7 pour transformer son habitacle en salle de concert.
Mercedes-Benz Canada, de concert avec la maison-mère, a fait le choix de se limiter à deux motorisations : le V6 de 3 litres, qui développe 228 chevaux, et le V6 de 3,5 litres, qui livre 268 chevaux. Le premier s'accouple de série à une boîte manuelle à 6 rapports, tandis que le 3,5-litres n'est livré qu'avec la boîte automatique à 7 rapports, offerte en option sur le 3-litres. Soyons réalistes ! Il n'y aura que peu de C300 à boîte manuelle importées au pays. Je regrette l'absence du fameux 4-cylindres de 2,3 litres, un engin solide, fiable et très économe. On ne verra pas non plus de moteur diesel avant au moins deux ans, et ce, parce que nos voisins du sud ont établi des normes antipollution particulières pour eux afin d'éviter l'invasion européenne des moteurs diesel modernes et efficaces.
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| Le V6 de 3,5 litres développe une puissance de 268 chevaux et un couple de 258 li-pi. |
Le V6 de 3 litres peut utiliser l'essence avec éthanol, (cote FlexE-85). Mais ce 3-litres est déjà économe : on prévoit une consommation moyenne de 9,9 litres aux 100 kilomètres. À 115 km/h sur l'autoroute, on pourra espérer 8,5 litres aux 100 kilomètres sans problème, et peut-être mieux. Mercedes a une bonne réputation à cet égard.
Plus d'espace
L'une des grandes qualités de la nouvelle Classe C réside dans un meilleur aménagement de l'habitacle. On s'y sent plus à l'aise. À l'avant comme à l'arrière, les ingénieurs ont dégagé plus d'espace pour les passagers. Même, un grand de six pieds y trouve son compte à l'arrière. Les sièges avant maintiennent bien les passagers. Comme conducteur, j'ai aimé la finition du tableau de bord car le matériau plus mat évite les reflets dans le pare-brise. Mon passager, quant à lui, considérait le résultat pas suffisamment chic pour une Mercedes. Il a également critiqué le bouton de verrouillage de la portière, le trouvant trop pointu.
L'aménagement des commandes se révèle efficace et pratique. Mercedes-Benz ajoute à sa Classe C un sélecteur électronique dans la console centrale pour remplacer plusieurs boutons de commande. Il fonctionne comme une souris d'ordinateur et se révèle très convivial.
Enfin un écran lisible
Le nouvel écran de 7 pouces du [link artid="949532"]système de navigation[/link] (en option) mérite des éloges. Je ne suis pas un adepte de ces systèmes qui apportent trop de distractions et obligent le conducteur à détourner les yeux de la route trop longtemps pour le consulter. Cette fois, j'ai été ravi de la visibilité de cet écran rétractable : il est bien placé, facile à consulter rapidement. Mon passager m'a fait également l'éloge de la carte-mémoire qu'on peut insérer dans le système audio et vidéo. De série, les berlines de Classe C sont livrées avec une chaîne audio de qualité, mais le mélomane pourra opter pour la chaîne ambiophonique Harman/Kardon Logic 7 pour transformer son habitacle en salle de concert.
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| L'écran de 7 pouces est bien positionné ce qui rend sa consultation moins hasardeuse. |