Tenue de route
Même s'ils ont préféré l'ensemble sport, les dirigeants de M-B Canada étaient conscients de l'état des routes au pays. Les nouvelles Classe C, avec l'ensemble sport, offrent un bon compromis entre le confort et la tenue de route. Une bonne partie de ce succès vient des nouveaux amortisseurs. Une soupape règle et contrôle l'amplitude du mouvement de l'amortisseur. Quand on sollicite l'accélérateur en virage serré, cette soupape se ferme en descente pour raffermir la suspension. Nous avons pu tester ses effets sur la route et sur la piste.
Sur les routes secondaires, nous avons trouvé ces voitures dociles et confortables, prévisibles et sûres. Le système d'antipatinage à l'accélération, de série, y est également pour quelque chose. Sur les autoroutes, elles se révèlent un plaisir à conduire. Issues du pays où les limites de vitesse sont plus élevées que les nôtres, elles font preuve d'une grande stabilité de roulement. Le seul commentaire négatif vient des bruits éoliens des gros rétroviseurs, néanmoins très utiles. Le freinage est sûr et constant. J'ai également bien aimé la direction : plus précise, elle transmettait très bien les sensations de la route et la direction des roues.
Performances
J'ai préféré la C350 en raison de son moteur plus nerveux : il me donnait plus d'assurance dans les dépassements ou sur la piste. Les deux versions s'équivalent sur les autoroutes, mais quand vient le temps de dépasser, j'aime compter sur une puissance additionnelle. Pourtant, les chiffres préliminaires que j'ai obtenus ne me donnent pas nécessairement raison : la C300 passe de 80 à 120 km/h en 5 secondes, et la C350, en 4,3 secondes, ce qui constitue de bons résultats. J'ai constaté par ailleurs que la réaction de la boîte automatique était plus efficace et rapide sur la version C350. C'est peut-être de là que vient cette impression.
Mes données d'accélération (0 à 100 km/h) correspondent à celles du constructeur : 6,4 secondes pour la C350 et 7,3 secondes pour la C300, toute deux avec boîte automatique. Au chapitre du freinage, je voudrais reprendre mes essais : j'ai obtenu 39 mètres pour la C350 et 43 mètres dans le cas de la C300 pour un arrêt d'urgence complet à 100 km/h.
Un bon cru
C'est ainsi que je résume ce premier contact avec les nouvelles Classe C. L'habitacle est dégagé : nous nous y sentions à l'aise. La voiture tient bien la route et inspire confiance. Résolument moderne, ce millésime offre plus d'espace et plus de plaisir de conduire.
Équipement de série
Tenue de route
Performances (C350)
Habitacle dégagé
Confort
Allure (ensemble sport)
Bruits éoliens (rétroviseurs)
Aucun
photo:Amyot Bachand
Même s'ils ont préféré l'ensemble sport, les dirigeants de M-B Canada étaient conscients de l'état des routes au pays. Les nouvelles Classe C, avec l'ensemble sport, offrent un bon compromis entre le confort et la tenue de route. Une bonne partie de ce succès vient des nouveaux amortisseurs. Une soupape règle et contrôle l'amplitude du mouvement de l'amortisseur. Quand on sollicite l'accélérateur en virage serré, cette soupape se ferme en descente pour raffermir la suspension. Nous avons pu tester ses effets sur la route et sur la piste.
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| Les rétroviseurs créent des turbulences audibles dans l'habitacle. |
Sur les routes secondaires, nous avons trouvé ces voitures dociles et confortables, prévisibles et sûres. Le système d'antipatinage à l'accélération, de série, y est également pour quelque chose. Sur les autoroutes, elles se révèlent un plaisir à conduire. Issues du pays où les limites de vitesse sont plus élevées que les nôtres, elles font preuve d'une grande stabilité de roulement. Le seul commentaire négatif vient des bruits éoliens des gros rétroviseurs, néanmoins très utiles. Le freinage est sûr et constant. J'ai également bien aimé la direction : plus précise, elle transmettait très bien les sensations de la route et la direction des roues.
Performances
J'ai préféré la C350 en raison de son moteur plus nerveux : il me donnait plus d'assurance dans les dépassements ou sur la piste. Les deux versions s'équivalent sur les autoroutes, mais quand vient le temps de dépasser, j'aime compter sur une puissance additionnelle. Pourtant, les chiffres préliminaires que j'ai obtenus ne me donnent pas nécessairement raison : la C300 passe de 80 à 120 km/h en 5 secondes, et la C350, en 4,3 secondes, ce qui constitue de bons résultats. J'ai constaté par ailleurs que la réaction de la boîte automatique était plus efficace et rapide sur la version C350. C'est peut-être de là que vient cette impression.
Mes données d'accélération (0 à 100 km/h) correspondent à celles du constructeur : 6,4 secondes pour la C350 et 7,3 secondes pour la C300, toute deux avec boîte automatique. Au chapitre du freinage, je voudrais reprendre mes essais : j'ai obtenu 39 mètres pour la C350 et 43 mètres dans le cas de la C300 pour un arrêt d'urgence complet à 100 km/h.
Un bon cru
C'est ainsi que je résume ce premier contact avec les nouvelles Classe C. L'habitacle est dégagé : nous nous y sentions à l'aise. La voiture tient bien la route et inspire confiance. Résolument moderne, ce millésime offre plus d'espace et plus de plaisir de conduire.
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Tenue de route
Performances (C350)
Habitacle dégagé
Confort
Allure (ensemble sport)
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Bruits éoliens (rétroviseurs)
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Aucun
photo:Amyot Bachand
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