Double personnalité sur la route
Le remarquable menu technologique de la Mercedes-Benz Classe E Cabriolet 2011 comprend aussi une transmission automatique 7G-Tronic qui, en mode Sport, passe d’elle-même au mode Luxe si le système détecte une conduite plus modérée. Par contre, dès que l’on appuie énergiquement sur l’accélérateur, le mode Sport se réengage.
Sans surprise, la E350 et la E550 proposent une expérience bien différente sur la route. La première se montre généralement plus calme et décontractée. Le fameux mode Sport raffermit la suspension et alourdit un peu la direction. En outre, l’engourdissement typique des pédales d’accélérateur de Mercedes fait place à une plus grande sensibilité. La voiture garde une belle maîtrise dans les virages et, confrontée à une série d’épingles, elle semble se raidir au fur et à mesure que l’on attaque. Les poussées offertes par le V6 de 3,5 litres ne sont pas fulgurantes, bien qu’il soit possible d’accélérer de 0 à 100 km/h en 6,9 secondes en appuyant à fond.
De son côté, la E550 au V8 de 5,5 litres change vite son ronronnement en un grognement féroce, nous indiquant qu’elle est prête à dévorer la route. Dans le trafic, je la compare à un requin qui navigue parmi un banc de délicieux poissons. Facile à enfiler dans les ouvertures, elle se déplace avec assurance et acharnement. Ici, le chrono pour le 0-100 km/h s’établit à 5,9 secondes. Une fois que l’on a dépassé tout le monde, la voiture file plus allègrement et adoucit sa mélodie, passant du mode Sport à Luxe.
Dans les deux cas, de gros freins à disque ralentissent ce cabriolet avec une ardeur surprenante, à tel point que je devais souvent réaccélérer à l’approche des courbes. D’autres fois, je faisais exprès pour freiner devant un automobiliste trop collant, simplement pour voir s’il comprendrait le message. J’ai aussi apprécié les freins lorsqu’une voiture arrivant en sens inverse et prenant la moitié de ma voie dans une courbe m’a forcé à me serrer contre le flanc rocheux. C’est d’ailleurs à ce moment que j’ai réalisé que la Classe E s’avère plus étroite que je pensais.
En conclusion…
La E350 2011 se vend à partir de 67 900 $, tandis que la E550 de 382 chevaux coûte pas moins de 77 500 $. Dans cette fourchette, la seule autre décapotable disponible, soit la Audi S5 à toit souple, affiche un prix de 68 500 $.
La nouvelle Mercedes-Benz Classe E 2011 est le premier cabriolet véritablement tout aller et toute saison que j’ai eu la chance de conduire dans ma vie. Elle possède le charme et le confort pour offrir de superbes balades sur les boulevards. On peut aussi en faire un bolide de performance qui se conduit telle une berline sport. Ajoutez à cela la sécurité et le design propres à Mercedes et vous obtenez une machine à faire sourire 365 jours par année!
Le remarquable menu technologique de la Mercedes-Benz Classe E Cabriolet 2011 comprend aussi une transmission automatique 7G-Tronic qui, en mode Sport, passe d’elle-même au mode Luxe si le système détecte une conduite plus modérée. Par contre, dès que l’on appuie énergiquement sur l’accélérateur, le mode Sport se réengage.
Sans surprise, la E350 et la E550 proposent une expérience bien différente sur la route. La première se montre généralement plus calme et décontractée. Le fameux mode Sport raffermit la suspension et alourdit un peu la direction. En outre, l’engourdissement typique des pédales d’accélérateur de Mercedes fait place à une plus grande sensibilité. La voiture garde une belle maîtrise dans les virages et, confrontée à une série d’épingles, elle semble se raidir au fur et à mesure que l’on attaque. Les poussées offertes par le V6 de 3,5 litres ne sont pas fulgurantes, bien qu’il soit possible d’accélérer de 0 à 100 km/h en 6,9 secondes en appuyant à fond.
De son côté, la E550 au V8 de 5,5 litres change vite son ronronnement en un grognement féroce, nous indiquant qu’elle est prête à dévorer la route. Dans le trafic, je la compare à un requin qui navigue parmi un banc de délicieux poissons. Facile à enfiler dans les ouvertures, elle se déplace avec assurance et acharnement. Ici, le chrono pour le 0-100 km/h s’établit à 5,9 secondes. Une fois que l’on a dépassé tout le monde, la voiture file plus allègrement et adoucit sa mélodie, passant du mode Sport à Luxe.
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| Les poussées offertes par le V6 de 3,5 litres ne sont pas fulgurantes, bien qu’il soit possible d’accélérer de 0 à 100 km/h en 6,9 secondes en appuyant à fond. (Photo: Charles Renny/Auto123.com) |
Dans les deux cas, de gros freins à disque ralentissent ce cabriolet avec une ardeur surprenante, à tel point que je devais souvent réaccélérer à l’approche des courbes. D’autres fois, je faisais exprès pour freiner devant un automobiliste trop collant, simplement pour voir s’il comprendrait le message. J’ai aussi apprécié les freins lorsqu’une voiture arrivant en sens inverse et prenant la moitié de ma voie dans une courbe m’a forcé à me serrer contre le flanc rocheux. C’est d’ailleurs à ce moment que j’ai réalisé que la Classe E s’avère plus étroite que je pensais.
En conclusion…
La E350 2011 se vend à partir de 67 900 $, tandis que la E550 de 382 chevaux coûte pas moins de 77 500 $. Dans cette fourchette, la seule autre décapotable disponible, soit la Audi S5 à toit souple, affiche un prix de 68 500 $.
La nouvelle Mercedes-Benz Classe E 2011 est le premier cabriolet véritablement tout aller et toute saison que j’ai eu la chance de conduire dans ma vie. Elle possède le charme et le confort pour offrir de superbes balades sur les boulevards. On peut aussi en faire un bolide de performance qui se conduit telle une berline sport. Ajoutez à cela la sécurité et le design propres à Mercedes et vous obtenez une machine à faire sourire 365 jours par année!
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