Une SL moderne est aussi convoitée parce que son toit en aluminium bénéficie d'une articulation entièrement automatique. Son mécanisme a d'ailleurs été amélioré par rapport au concept initialement lancé avec la SLK, ne nécessitant que 16 secondes (au lieu de 25) pour s'ouvrir ou se fermer.
Tout mon essai s'est donc déroulé les cheveux au vent (enfin, ce qui m'en reste...) et je dois complimenter Mercedes-Benz pour avoir dessiné une cabine qui résiste efficacement aux assauts éoliens. Une casquette reste en place et une conversation se poursuit sans crier. Quant au confort général, il est royalement appuyé par une suspension dite adaptive, qui marie l'informatique à l'hydraulique pour faire varier les réactions générales du châssis au type de conduite (déterminée notamment par le style du conducteur et l'état de la chaussée). Le correcteur d'assiette automatique, de son côté, élimine autant que possible le roulis dans les virages. Ajoutez à ce confort musclé des baquets généreusement rembourrés, et vous obtenez de la SL500 une boulevardière de grand charme.
Le confort d'abord
Elle n'est pas un foudre de guerre, bien que son allure pourrait laisser espérer le contraire. La direction n'a pas la précision chirurgicale d'une automobile vraiment sportive. Très assistée, elle joue bien son rôle dans le trafic mais n'incite aucunement à se comporter en pilote de F1. Bien entendu, sur l'autoroute italienne qui s'éloignait de Florence, je n'ai pas pu résister à vérifier ce que la SL a dans le coffre. Elle en a. Assez en tous les cas pour s'imposer sans gêne dans la voie de gauche et forcer les plus lents (en Italie, c'est rare!) à céder le passage. Mais des corrections de cap s'imposent fréquemment étant donné la propension de la direction à préférer la dolce vita.
Tout mon essai s'est donc déroulé les cheveux au vent (enfin, ce qui m'en reste...) et je dois complimenter Mercedes-Benz pour avoir dessiné une cabine qui résiste efficacement aux assauts éoliens. Une casquette reste en place et une conversation se poursuit sans crier. Quant au confort général, il est royalement appuyé par une suspension dite adaptive, qui marie l'informatique à l'hydraulique pour faire varier les réactions générales du châssis au type de conduite (déterminée notamment par le style du conducteur et l'état de la chaussée). Le correcteur d'assiette automatique, de son côté, élimine autant que possible le roulis dans les virages. Ajoutez à ce confort musclé des baquets généreusement rembourrés, et vous obtenez de la SL500 une boulevardière de grand charme.
Le confort d'abord
Elle n'est pas un foudre de guerre, bien que son allure pourrait laisser espérer le contraire. La direction n'a pas la précision chirurgicale d'une automobile vraiment sportive. Très assistée, elle joue bien son rôle dans le trafic mais n'incite aucunement à se comporter en pilote de F1. Bien entendu, sur l'autoroute italienne qui s'éloignait de Florence, je n'ai pas pu résister à vérifier ce que la SL a dans le coffre. Elle en a. Assez en tous les cas pour s'imposer sans gêne dans la voie de gauche et forcer les plus lents (en Italie, c'est rare!) à céder le passage. Mais des corrections de cap s'imposent fréquemment étant donné la propension de la direction à préférer la dolce vita.