Merci pour la courte taille de l’empattement, et la largeur excessive du véhicule (toutes proportions gardées évidemment) qui sont responsables de cette tenue de route sans reproche. Ajoutez-y un aérodynamisme surprenant, et une faible sensibilité relative aux vents latéraux, et vous aurez un étonnant résultat. Imaginez, même secouée par des rafales de 100 kilomètres à l’heure et alors que les camions volaient littéralement en dehors de la route, la Mini elle, gardait le cap avec fierté et seulement quelques bruits en provenance du toit de toile!
Seul petit bémol, l’absence de toit rigide entraîne évidemment un amollissement du châssis, ce qui se traduit par quelques craquements désagréables, et quelques vibrations inopportunes en conduite plus sportive. Mais il a fallu une attention soutenue, et une véritable volonté d’évaluer les détails, pour en être dérangé.
Toit, toit, petit toit
La joie de la MINI Cooper Cabriolet, c’est évidemment la possibilité de se retrouver cheveux au vent. Selon les gens de chez MINI, toute l’opération nécessite environ 15 secondes et ne peut se faire en roulant à plus de 30 kilomètres à l’heure bien entendu (ce que j’ai réalisé à mes dépens alors que la pluie commençait à déferler sur nos têtes).
Mais pour s’assurer que tous les usagers s’en serviront, MINI vous lance presque un défi en mettant à votre disposition un cadran notant le nombre d’heures et de minutes durant lesquelles vous avez roulé toit ouvert. Un gadget fort peu utile…. mais j’ai quand même roulé plus de 7 heures sans toit durant mon essai!
On a un peu modifié le design du toit, changeant le mécanisme en rouleau pour des supports différents. L’objectif : faciliter l’accès au coffre arrière (minuscule mais bon...), améliorer le design, la vitesse et la visibilité du conducteur. Trois sur quatre atteints, puisque la visibilité arrière continue d’être problématique, tant avec le toit remonté qu’abaissé.
Et comme les miroirs latéraux ne sont pas de très grande taille, il faut parfois quelques contorsions pour s’assurer de changements de voie sécuritaires.
Mentionnons en terminant que quelques détails physiques ont été modifiés à l’extérieur pour cette nouvelle génération, mais que l’habitacle continue d’avoir une allure de cockpit d’avion. Les cadrans, toujours gigantesques (regardez l’odomètre au centre et vous m’en direz des nouvelles) sont toujours un peu inhabituels dans leur disposition. Tout comme l’ensemble des boutons, disposés en bas au centre de la console centrale.
Mais une fois cela dit… la MINI a du style, des rondeurs bien placées, procure du plaisir de conduite et est toujours d’agréable compagnie peu importe les circonstances. Mon dieu, on dirait presque que je parle de moi…
photo:Matthieu Lambert
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| Merci pour la courte taille de l’empattement, et la largeur excessive du véhicule. |
Seul petit bémol, l’absence de toit rigide entraîne évidemment un amollissement du châssis, ce qui se traduit par quelques craquements désagréables, et quelques vibrations inopportunes en conduite plus sportive. Mais il a fallu une attention soutenue, et une véritable volonté d’évaluer les détails, pour en être dérangé.
Toit, toit, petit toit
La joie de la MINI Cooper Cabriolet, c’est évidemment la possibilité de se retrouver cheveux au vent. Selon les gens de chez MINI, toute l’opération nécessite environ 15 secondes et ne peut se faire en roulant à plus de 30 kilomètres à l’heure bien entendu (ce que j’ai réalisé à mes dépens alors que la pluie commençait à déferler sur nos têtes).
Mais pour s’assurer que tous les usagers s’en serviront, MINI vous lance presque un défi en mettant à votre disposition un cadran notant le nombre d’heures et de minutes durant lesquelles vous avez roulé toit ouvert. Un gadget fort peu utile…. mais j’ai quand même roulé plus de 7 heures sans toit durant mon essai!
On a un peu modifié le design du toit, changeant le mécanisme en rouleau pour des supports différents. L’objectif : faciliter l’accès au coffre arrière (minuscule mais bon...), améliorer le design, la vitesse et la visibilité du conducteur. Trois sur quatre atteints, puisque la visibilité arrière continue d’être problématique, tant avec le toit remonté qu’abaissé.
Et comme les miroirs latéraux ne sont pas de très grande taille, il faut parfois quelques contorsions pour s’assurer de changements de voie sécuritaires.
Mentionnons en terminant que quelques détails physiques ont été modifiés à l’extérieur pour cette nouvelle génération, mais que l’habitacle continue d’avoir une allure de cockpit d’avion. Les cadrans, toujours gigantesques (regardez l’odomètre au centre et vous m’en direz des nouvelles) sont toujours un peu inhabituels dans leur disposition. Tout comme l’ensemble des boutons, disposés en bas au centre de la console centrale.
Mais une fois cela dit… la MINI a du style, des rondeurs bien placées, procure du plaisir de conduite et est toujours d’agréable compagnie peu importe les circonstances. Mon dieu, on dirait presque que je parle de moi…
photo:Matthieu Lambert
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