À l’intérieur, le « mignon » fait place à « disco », à « funky », avec un peu de « rock » pour faire bonne mesure. La console centrale déborde, comme la foule qui s’entassait devant le Studio 54. On trouve des interrupteurs à mi-chemin entre les vitres et une multitude d’autres fonctions. En haut, un logo MINI fait office de commandes du système CVCA. Funky, comme je disais. En bas, d’autres boutons, cette fois pour les antibrouillards, le contrôle de la stabilité et l’essentiel mode Sport. Rock & Roll!
Ce petit bout de plastique anodin permet d’exploiter le plein potentiel de la Countryman. Il déchaîne les 181 chevaux du petit quatre-cylindres turbo de 1,6 litre. Bon, déchaîner, ce n’est peut-être pas le bon mot. En sa version S ALL4, la Countryman pèse près de 150 kg de plus que la Cooper S, et ses accélérations, quoique vives, ne sont pas aussi fulgurantes que celles de la Cooper.
Une grosse boîte manuelle à six rapports fait le lien entre le moteur et les roues. D’action lourde, il faut y aller d’une main ferme pour passer d’un rapport à l’autre. Après une journée ou deux, on a peaufiné la synchronisation entre cerveau, pieds et main droite, et c’est là que le véritable plaisir commence.
Chaque voiture allemande offre une position de conduite parfaite. La Countryman ne fait pas exception. Les sièges enveloppent et maintiennent leur charge en grand confort, tout tombe dans la main, et aussitôt je n’avais qu’une idée en tête : prendre la route.
En une semaine, j’ai parcouru pas loin de 1 000 kilomètres. Étonnamment, et malgré mes meilleurs efforts juvéniles, la Countryman se comporte très bien à la pompe. Au cours de mes escapades, dont 60 % se déroulèrent sur la route et 40 % en ville, elle n’avalait pas plus que 9 litres par 100 km. Et une personne plus raisonnable pourrait sûrement faire un rabais d’un litre par 100 km.
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| À l’intérieur, le « mignon » fait place à « disco », à « funky », avec un peu de « rock » pour faire bonne mesure. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Ce petit bout de plastique anodin permet d’exploiter le plein potentiel de la Countryman. Il déchaîne les 181 chevaux du petit quatre-cylindres turbo de 1,6 litre. Bon, déchaîner, ce n’est peut-être pas le bon mot. En sa version S ALL4, la Countryman pèse près de 150 kg de plus que la Cooper S, et ses accélérations, quoique vives, ne sont pas aussi fulgurantes que celles de la Cooper.
Une grosse boîte manuelle à six rapports fait le lien entre le moteur et les roues. D’action lourde, il faut y aller d’une main ferme pour passer d’un rapport à l’autre. Après une journée ou deux, on a peaufiné la synchronisation entre cerveau, pieds et main droite, et c’est là que le véritable plaisir commence.
Chaque voiture allemande offre une position de conduite parfaite. La Countryman ne fait pas exception. Les sièges enveloppent et maintiennent leur charge en grand confort, tout tombe dans la main, et aussitôt je n’avais qu’une idée en tête : prendre la route.
En une semaine, j’ai parcouru pas loin de 1 000 kilomètres. Étonnamment, et malgré mes meilleurs efforts juvéniles, la Countryman se comporte très bien à la pompe. Au cours de mes escapades, dont 60 % se déroulèrent sur la route et 40 % en ville, elle n’avalait pas plus que 9 litres par 100 km. Et une personne plus raisonnable pourrait sûrement faire un rabais d’un litre par 100 km.
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| Les sièges enveloppent et maintiennent leur charge en grand confort. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |