Une fois en mouvement, l'Eclipse tient très bien la route, avec un minimum de roulis de caisse et une sensation dynamique provenant de la direction. Mais ne vous attendez pas à une tenue de route digne de certaines rivales à propulsion, telles que les Mazda RX-8 et Nissan 370Z. En passant, le diamètre de braquage de 12,2 mètres de l'Eclipse complique les manoeuvres de stationnement : les Galant et Endeavor ont le même problème, puisqu'ils partagent tous la même plateforme.
Mais à part les accélérations, l'Eclipse Spyder peut également faire sa fraîche à dévaler les chics boulevards urbains, le toit baissé et profitant d'un après-midi ensoleillé ou d'une soirée chaude. Durant un voyage de Montréal-Québec-Montréal, avec un peu de conduite urbaine, la Spyder a livré une moyenne relativement basse de 9,8 L/100 km. Si vous roulez principalement en ville, attendez-vous à consommer entre 12 et 13 L/100 km.
Assis sur le plancher
L'habitacle de l'Eclipse est serré, et vous n'oublierez jamais que vous êtes au volant d'un coupé sport. Les sièges sont fixés à ras le plancher pour une conduite avec les jambes presque à l'horizontale, ce qui devient ankylosant après deux heures sur la route. Je dois également régler le dossier à un angle plus incliné qu'à l'habitude pour ne pas me frotter la tête au plafond.
À l'arrière, l'espace est précieux pour à la fois adultes et enfants sur sièges d'appoint, mais sur de courts trajets, c'est possible d'y prendre place. Les occupants à l'arrière peuvent même profiter d'un massage de dos, compliments du caisson d'extrême-graves intégré au dossier.
À l'intérieur de l'habitacle (ainsi qu'à l'extérieur), le grognement profond du moteur vous rappellera également que vous êtes assis dans une voiture sport, ce qui est plaisant. Il n'y a pas de changements visibles à l'habitacle pour 2009, ce qui n'est pas une mauvaise chose, puisque la disposition du tableau de bord est pratique et facile d'utilisation.
La qualité des matériaux utilisés est dans la moyenne, et le volant pourrait être d'un plus petit diamètre, cependant. Ah, et on ne peut voir grand-chose à travers la petite lunette arrière.
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| À l'arrière, l'espace est précieux mais sur de courts trajets, c'est possible d'y prendre place. |
Mais à part les accélérations, l'Eclipse Spyder peut également faire sa fraîche à dévaler les chics boulevards urbains, le toit baissé et profitant d'un après-midi ensoleillé ou d'une soirée chaude. Durant un voyage de Montréal-Québec-Montréal, avec un peu de conduite urbaine, la Spyder a livré une moyenne relativement basse de 9,8 L/100 km. Si vous roulez principalement en ville, attendez-vous à consommer entre 12 et 13 L/100 km.
Assis sur le plancher
L'habitacle de l'Eclipse est serré, et vous n'oublierez jamais que vous êtes au volant d'un coupé sport. Les sièges sont fixés à ras le plancher pour une conduite avec les jambes presque à l'horizontale, ce qui devient ankylosant après deux heures sur la route. Je dois également régler le dossier à un angle plus incliné qu'à l'habitude pour ne pas me frotter la tête au plafond.
À l'arrière, l'espace est précieux pour à la fois adultes et enfants sur sièges d'appoint, mais sur de courts trajets, c'est possible d'y prendre place. Les occupants à l'arrière peuvent même profiter d'un massage de dos, compliments du caisson d'extrême-graves intégré au dossier.
À l'intérieur de l'habitacle (ainsi qu'à l'extérieur), le grognement profond du moteur vous rappellera également que vous êtes assis dans une voiture sport, ce qui est plaisant. Il n'y a pas de changements visibles à l'habitacle pour 2009, ce qui n'est pas une mauvaise chose, puisque la disposition du tableau de bord est pratique et facile d'utilisation.
La qualité des matériaux utilisés est dans la moyenne, et le volant pourrait être d'un plus petit diamètre, cependant. Ah, et on ne peut voir grand-chose à travers la petite lunette arrière.
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| L'habitacle de l'Eclipse est serré, et vous n'oublierez jamais que vous êtes au volant d'un coupé sport. |